Pour les activités de reporting, DIALOG dispose d’états standards et d’un libre service informatique. Les états standards sont des états préformatés édités automatiquement ou manuellement pour l’approvisionnement, la distribution, la logistique et la facturation. Le libre service informatique est constitué de bases de données disponibles aux utilisateurs en filiale et au siège. Page suivante : […]
Page suivante : Architecture globale simplifiéeRetour au menu : Open Groupe
Dans les pays d’endettement à revenu moyen, où les banques secondaires jouent un rôle essentiel dans le financement de l’activité économique, le financement du secteur privé s’effectue principalement par l’offre de crédit bancaire de long terme. Le développement du secteur privé s’optimise dès lors sous la contrainte des financements des Petites et Moyennes Entreprises par […]
Notre modèle a pour objectif de déterminer le niveau de risque des banques secondaires gabonaises en utilisant une approche des choix de portefeuille. Ainsi, nous allons présenter le modèle (Chapitre 1), avant de procéder à sa spécification (Chapitre 2). Page suivante : CHAPITRE I : PRESENTION DU MODELERetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES […]
Il s’agit de présenter successivement l’encrage théorique de la relation fonctionnelle (section 1) et les variables du modèle (section 2). Page suivante : Section 1- Les déterminants théoriques du niveau de risque bancaireRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
L’objet du modèle est de mettre en évidence les déterminants du niveau de risque bancaire par l’approche de portefeuille. Cette approche développée par PYLE (1971), HART et JAFFEE (1974) ; KAHANE (1977); KOEHN et SANTOMERO (1980) ; KIM et SANTOMERO (1988), détermine le niveau de risque bancaire par les ratios comportementaux significatifs, c’està- dire, les […]
Il s’agit de présenter la variable endogène et les variables exogènes choisies pour établir notre modèle de détermination du niveau de risque bancaire à des fins d’estimation. Page suivante : 2.1- La variable endogène :Retour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
La prise de risque des banques est appréhendée par l’évolution du niveau de risque, en faisant le rapport entre les créances douteuses et litigieuses et le total des actifs. RISK t = Créances douteuses et litigieuses/total actifs Son évolution trimestrielle du risque global des banques gabonaises, dans la période 2000-2007, est représentée dans le graphique […]
Les deux variables exogènes retenues pour expliquer l’évolution du risque bancaire dans notre cadre d’étude sont les suivantes : Le niveau de liquidité immédiate (LIQUIDt) et le crédit aux P.M.E (PMEDt). Page suivante : 2.2.1- Le niveau de liquidité immédiateRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
· LIQUIDt = Actifs de trésorerie/ dépôts de la clientèle Le niveau de liquidité est mesuré par le ratio de liquidité immédiate, calculé en effectuant le rapport entre les actifs liquides/dépôts de la clientèle et ressources interbancaires (LIQUIDt). Les banques qui ont suffisamment de liquidités pour satisfaire les demandes de nouveaux crédits, peuvent être rentables […]
· PMEDt = Les prêts aux P.M.E /total actif Cette variable, qui représente la somme des prêts octroyés par la banque aux P.M.E (composée de la somme des prêts de court terme et des prêts de long terme) sur le total des actifs, nous permettra d’estimer les effets du financement des PME, sur le niveau […]
Dans ce chapitre, nous présentons la formulation linéaire du modèle (section 1) et les signes attendus des coefficients (section 2). Page suivante : Section1- Formulation linéaire du modèleRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Il s’agit de comprendre l’impact de la réglementation COOKE sur la prise de risque des banques. Pour cela, nous établissons une équation de la variation du niveau de risque : ΔRISK t = Δd RISK t + ε t (1) Dans ce modèle, les changements observés du niveau de risque sont composés de deux facteurs: […]
Dans notre étude, nous supposons que la réglementation COOKE utilisée par la COBAC incite les banques gabonaises à disposer d’une liquidité excédentaire au détriment d’une meilleure offre de crédit au secteur privé. Les signes des coefficients c1, c2 et c3 nous permettent de vérifier cette assertion. En effet, un signe négatif au coefficient à correction […]
Dans cette deuxième partie, nous présentons l’estimation et les résultats dans le chapitre 1. Le chapitre 2 est consacré à l’interprétation des résultats obtenus. Page suivante : CHAPITRE I : PRESENTATION DES RESULTATSRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Il est question, dans ce chapitre, de présenter le processus d’estimation du modèle de détermination du niveau de risque bancaire (section1) et les résultats des estimations (section2). Page suivante : Section1 – Processus d’estimationRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
L’analyse économétrique d’un phénomène impose une certaine discipline dans la démarché à suivre. De ce point de vue, après avoir collecté les données, il convient de les traiter afin d’éviter des régressions biaisées. Page suivante : 1.1- Analyse des donnéesRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Les données que nous avons utilisées sont issues des rapports annuels de la Commission Bancaire d’Afrique Centrale (COBAC), une base de données comprenant l’évolution bilancielle des 7 banques gabonaises en activité (Banque Gabonaise de Développement, Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Gabon, BGFI Bank Gabon, Citibank, Financial Bank Gabon, Union Gabonaise des Banques […]
Avant d’effectuer d’entrer dans la démarche économétrique proprement dite, nous allons faire un test de normalité sur les séries, pour vérifier que les séries suivent une loi normale et que les estimations obtenues sont sans biais. En effet, il ressort des coefficients de SKEWNESS, KURTOSIS et celle de la probabilité (cf. annexe2 ; tableau 1) […]
Le test de stationnarité appliqué sur les séries permet de déterminer s’il y’a possibilité de cointégration ou non (les séries doivent être intégrées du même ordre). Le test de stationnarité utilisé est celui de Dickey-Fuller Augmenté (ADF) avec les hypothèses suivantes : H0 : présence de racines unitaires (séries non stationnaires) H1 : Absence de […]
Le test de cointégration de JOHANSEN nous éclaire sur le nombre de relation de cointégration et sa forme fonctionnelle en suivant différents critères : – Le critère de la trace et valeur propre minimale – Les critères d’information d’AKAIKE et de SCHWARZ. Nous avons effectué le test de cointégration fondé sur la comparaison du ratio […]
Nous présentons tout d’abord la relation estimée du modèle vectoriel à correction d’erreur avant de procéder à des commentaires économétriques. Page suivante : 2.1- Estimation du Modèle Vectoriel à Correction d’ErreurRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Le Modèle Vectoriel à Correction d’Erreur correspond à la relation suivante : D(LNRISK) = – 0.0708493132 * ( LNRISK (-1) + 8.802963739 * LNPMED (-1) + 1.511718821 * LNLIQUID (-1) + 0.2167360526 * @TREND (2) + 6.806435091 ) + 1.066589885 * D(LNRISK(-1)) – 0.1119880991 *D(LNPMED(-1)) – 0.0001168350494 *D(LNLIQUID(-1)) – 0.0 03821316497 Les tests de significativité […]
Comme nous l’avons dit précédemment, l’élasticité (-0,0708) associé à la variable LNRISK t-1, est notre coefficient à correction d’erreur. Certes cette élasticité est faible, mais elle est significativement différente de zéro au seuil de 5%. Ainsi, d’un trimestre à l’autre, la variable endogène (RISK t) converge lentement vers son niveau d’équilibre de long terme (RISK*t). […]
L’estimation du niveau de risque bancaire par l’approche des portefeuilles permet de mettre en évidence l’aversion des banques secondaires face au risque (section1). Un résultat qui nous amène à proposer le passage de Bâle I à Bâle II (section2). Page suivante : Section1- Aversion des banques face au risqueRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX […]
Les résultats économétriques précédents certifient que les banques gabonaises ont une aversion à l’égard du risque de crédit de long terme. En effet, ils réconfortent l’hypothèse d’une convergence du niveau de risque bancaire vers son niveau de long terme, d’une part, et celle d’une recomposition du portefeuille bancaire favorisant la détention d’actifs liquides à moindre […]
La force de rappel de notre modèle, qui rend compte d’une convergence du niveau de risque des banques vers l’équilibre de long terme, est négative et significative (-0,0708). Sous la réglementation prudentielle Bâle I, les banques gabonaises prennent de moins en moins de risque. Ce résultat est en conformité, d’une part, avec les conclusions de […]
L’aversion des six banques gabonaises face au risque est aussi mise en exergue par la recomposition de leur portefeuille en faveur la détention d’actifs liquides et d’une offre de crédit de court terme, au détriment du crédit de long terme. Le test de causalité de GRANGER (annexe2 ; tableau 5) montre que le crédit au […]
La principale recommandation consiste à passer de la réglementation Bâle I à Bâle II. La réglementation Bâle II réduira l’aversion au risque des banques secondaires et améliorera le financement des P.M.E. Page suivante : 2.1- Réduction de l’aversion au risque des banquesRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
La réglementation prudentielle de Bâle II, contrairement à celle de Bâle I, prévoit, d’une part, une plus grande prise en compte des risques inhérents à l’activité d’intermédiation financière et, d’autre part, des dispositions qualitatives favorisant l’offre de crédit aux P.M.E. En effet, le ratio de solvabilité Mac DONOUGH au centre de Bâle II, audelà du […]