A mon arrivée à l’agence principale d’Open du Nord j’ai été accueilli par la responsable du service collaborateurs qui m’a présenté l’entreprise, ses activités, son fonctionnement et ses perspectives et qui a également eu le rôle d’interlocutrice pour moi auprès de l’administration. Ensuite j’ai rejoint l’équipe projet PSA – Projet informatique réalisé pour la société […]
Le groupe Open est doté de serveurs, routeurs, commutateurs, mainframes tel que l’AS/400, ordinateurs portables et ordinateurs de bureaux. Les systèmes d’exploitation utilisés sont entre autres linux, Windows 2000, Windows XP, Windows 7 et MVS. Page suivante : I-5 Personnel encadrant en période de stageRetour au menu : Open Groupe
Open dispose de chartes et modèles de documents. La charte graphique constitue l’un des éléments majeurs de la communication d’entreprise et recense les informations techniques reflétant l’identité visuelle d’OPEN. Page suivante : I-4 Environnement matériel et logicielRetour au menu : Open Groupe
OPEN a pour ambition de consolider sa position parmi les toutes premières SSII en France et inscrit sa démarche dans une logique d’avenir au travers de la mise en oeuvre de ses valeurs d’entreprise: pertinence, audace, éthique et responsabilité, passion et engagement. Open est également acteur du développement durable. Conscient que le développement durable constitue […]
Page suivante : Open et la RSERetour au menu : Open Groupe
Chaque direction dispose d’une direction Ressources Humaines. Leurs équipes respectives ont une mission plus directe envers les collaborateurs d’Open. Enfin, il existe une mission de staffing permettant de gérer plus clairement l’affectation des ressources productives aux missions clients. Page suivante : I-3 Les valeurs du groupe OpenRetour au menu : Open Groupe
Les activités sont réparties dans les différentes Business Units, réparties sur 5 zones géographiques, avec pour chacune d’elles : – une force commerciale centralisée nationalement – Account Manager – dont l’objectif est de développer les principaux comptes existants. Elle est composée de managers expérimentés en mesure de s’adresser à des interlocuteurs décisionnaires de haut niveau […]
Page suivante : La répartition géographiqueRetour au menu : Open Groupe
Aujourd’hui Open est une entreprise de 3200 collaborateurs et possédant un chiffre d’affaire de 260 millions d’euros, elle se positionne comme un acteur de la transformation et de la performance des directions informatiques des grandes entreprises. Principalement présente en France, elle intervient pour l’Europe en Belgique, aux Pays Bas et en Espagne et pour l’international […]
OPEN est une SSII – Société de Services en Informatique – créée en 1989 sous le nom de société OPEN Technologie, cette dernière a progressivement fusionné avec d’autres structures françaises et a permis d’aboutir aujourd’hui au Groupe Open ou Open Groupe. Page suivante : Acteur de la transformation et de la performanceRetour au menu : […]
Page suivante : I-1 Historique et activitésRetour au menu : Open Groupe
Page suivante : CHAPITRE I : LE GROUPE OPENRetour au menu : Open Groupe
Dans le cadre de la réalisation de mon projet de fin d’études d’ingénieur informaticien de 3IL j’ai eu l’opportunité d’être intégré au sein de l’agence principale du Nord du groupe Open, société de services en informatique et grand acteur de l’innovation technologique. Je suis actuellement en train de travailler sur un projet interne au groupe […]
COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Auteur : ASSOUMOU ONDO
Année de publication : 2009
UNIVERSITE OMAR BONGO
Discipline : Sciences Économiques
Directeur de mémoire :
Monsieur Albert ONDO OSSA, Professeur titulaire à l’Université OMAR BONGO
Membres du Jury
Monsieur Jean-Jacques EKOMIE, Professeur agrégé, à l’Université OMAR BONGO
Monsieur Symphorien ENGONE MVE, Professeur agrégé, à l’Université OMAR BONGO
Monsieur Jean Sylvain NDO NDONG, Maître assistant, à l’Université OMAR BONGO
· AGGARWAL R., JACQUES K., (2001): « The impact of FDICIA and prompt corrective action on bank capital and risk: Estimates using simultaneous equations model », journal of banking and finance, vol.25, pp.1139-1160. · AGLIETTA M., MOULOT., 1993, « Le risque de système et sa prévention », Cahiers Economiques et Monétaires de la Banque de […]
TABLEAU 1 : Résultat des tests de normalité des séries Valeurs de références SKEWNESS : 0 KURTOSIS : 1.96 PROBABILITE : 0.05 TABLEAU 2 : Tests de stationnarité des séries et des erreurs Ho : Les donnés contiennent une racine unitaire. *(** (***)) On rejette l’hypothèse Ho au seuil de 10%(5%(1%)). TABLEAU 3 : Critère […]
Formule de trimestrialisation des données Pour chaque variable Z annuellement observée, nous associons la quantité q telle que : q = [4* Z t (0,5* Z t-1 + 3* Z t + 0,5* Z t+1)] 1/2 Z t est la valeur de l’année courante Z t-1 est la valeur de l’année antérieure Z t+1 est […]
Le développement du secteur privé, dans des économies d’endettement comme le Gabon, s’effectue sous la contrainte d’une activité d’intermédiation financière des banques commerciales. Or, faute de projets bancables et face à un secteur privé a priori risqué, les banques secondaires gabonaises montrent une aversion au risque de crédit. Cette aversion se révèle, dans le portefeuille […]
Le passage de la réglementation Bâle I à la réglementation Bâle II réduirait l’aversion des banques au risque des créances P.M.E et améliorerait l’environnement institutionnel dans lequel va s’inscrire la relation financière entre banques commerciales et P.M.E. Ainsi, en nous alignant sur les conclusions de AUBIER (2007), nous pouvons prévoir que la réglementation de Bâle […]
La réglementation prudentielle de Bâle II, contrairement à celle de Bâle I, prévoit, d’une part, une plus grande prise en compte des risques inhérents à l’activité d’intermédiation financière et, d’autre part, des dispositions qualitatives favorisant l’offre de crédit aux P.M.E. En effet, le ratio de solvabilité Mac DONOUGH au centre de Bâle II, audelà du […]
La principale recommandation consiste à passer de la réglementation Bâle I à Bâle II. La réglementation Bâle II réduira l’aversion au risque des banques secondaires et améliorera le financement des P.M.E. Page suivante : 2.1- Réduction de l’aversion au risque des banquesRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
L’aversion des six banques gabonaises face au risque est aussi mise en exergue par la recomposition de leur portefeuille en faveur la détention d’actifs liquides et d’une offre de crédit de court terme, au détriment du crédit de long terme. Le test de causalité de GRANGER (annexe2 ; tableau 5) montre que le crédit au […]
La force de rappel de notre modèle, qui rend compte d’une convergence du niveau de risque des banques vers l’équilibre de long terme, est négative et significative (-0,0708). Sous la réglementation prudentielle Bâle I, les banques gabonaises prennent de moins en moins de risque. Ce résultat est en conformité, d’une part, avec les conclusions de […]
Les résultats économétriques précédents certifient que les banques gabonaises ont une aversion à l’égard du risque de crédit de long terme. En effet, ils réconfortent l’hypothèse d’une convergence du niveau de risque bancaire vers son niveau de long terme, d’une part, et celle d’une recomposition du portefeuille bancaire favorisant la détention d’actifs liquides à moindre […]
L’estimation du niveau de risque bancaire par l’approche des portefeuilles permet de mettre en évidence l’aversion des banques secondaires face au risque (section1). Un résultat qui nous amène à proposer le passage de Bâle I à Bâle II (section2). Page suivante : Section1- Aversion des banques face au risqueRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX […]
Comme nous l’avons dit précédemment, l’élasticité (-0,0708) associé à la variable LNRISK t-1, est notre coefficient à correction d’erreur. Certes cette élasticité est faible, mais elle est significativement différente de zéro au seuil de 5%. Ainsi, d’un trimestre à l’autre, la variable endogène (RISK t) converge lentement vers son niveau d’équilibre de long terme (RISK*t). […]
Le Modèle Vectoriel à Correction d’Erreur correspond à la relation suivante : D(LNRISK) = – 0.0708493132 * ( LNRISK (-1) + 8.802963739 * LNPMED (-1) + 1.511718821 * LNLIQUID (-1) + 0.2167360526 * @TREND (2) + 6.806435091 ) + 1.066589885 * D(LNRISK(-1)) – 0.1119880991 *D(LNPMED(-1)) – 0.0001168350494 *D(LNLIQUID(-1)) – 0.0 03821316497 Les tests de significativité […]
Nous présentons tout d’abord la relation estimée du modèle vectoriel à correction d’erreur avant de procéder à des commentaires économétriques. Page suivante : 2.1- Estimation du Modèle Vectoriel à Correction d’ErreurRetour au menu : COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES ET DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE
Le test de cointégration de JOHANSEN nous éclaire sur le nombre de relation de cointégration et sa forme fonctionnelle en suivant différents critères : – Le critère de la trace et valeur propre minimale – Les critères d’information d’AKAIKE et de SCHWARZ. Nous avons effectué le test de cointégration fondé sur la comparaison du ratio […]
Le test de stationnarité appliqué sur les séries permet de déterminer s’il y’a possibilité de cointégration ou non (les séries doivent être intégrées du même ordre). Le test de stationnarité utilisé est celui de Dickey-Fuller Augmenté (ADF) avec les hypothèses suivantes : H0 : présence de racines unitaires (séries non stationnaires) H1 : Absence de […]