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2) Théories de l’acquisition du langage

Il existe différents points de vue dans la littérature concernant l’acquisition du langage. A. Interactionnisme Lev Sémionovitch Vygotski inscrit sa théorie dans une perspective interactionniste. La notion fondamentale de sa théorie est que le langage possède une origine sociale. L’enfant, dès sa naissance, est dans un réseau d’interactions familiales, ce qui lui permet de développer […]

1) Développement des capacités pragmatiques

Comme le rappellent Lehalle et Mellier (2005), les compétences du bébé sont présentes dès les premiers mois de vie, car il baigne dans le langage qu’il entend de façon quotidienne. A leur naissance, les nouveau-nés seraient dotés d’une aptitude universelle, leur permettant de comprendre les phonèmes de toutes les langues, puis à partir de 6 […]

IV. Pragmatique et développement

1) Développement des capacités pragmatiques 2) Théories de l’acquisition du langage 3) Théorie de l’esprit 4) Langage non littéral 5) Pathologies Page suivante : 1) Développement des capacités pragmatiquesRetour au menu : VALIDATION QUALITATIVE DU TOPL-2

6) Dan Sperber et Deirdre Wilson

Sperber et Wilson ont une vision cognitive du langage. Ils publient leur théorie en 1986 dans un ouvrage nommé Relevance.Communication and cognition. Pour eux, le système cognitif permet de construire une représentation du monde et de l’améliorer. Bracops (2006) explique que la théorie de Sperber et Wilson est une théorie dite vériconditionnelle car la représentation […]

5) Paul Grice

En 1979, Grice énonce que les échanges entre interlocuteurs sont guidés par un principe de coopération, permettant ainsi l’intercompréhension entre les différents membres. Un échange implique un respect de règles communes. Le principe de coopération est donc en jeu dans les situations d’interaction où les interlocuteurs prennent la parole à tour de rôle, ce qui […]

4) John Searle et Daniel Vanderveken

Searle et Vanderveken définissent la théorie des actes de langage comme étant une théorie logique générale des actes de discours caractérisant la structure logique de l’ensemble de toutes les forces illocutoires possibles, ainsi que les conditions de succès et de satisfaction de tous les types d’actes illocutoires. Searle, en 1954, dit que parler une langue […]

3) John Austin

En 1955, John Austin prononce les Wiliam James Lectures et fonde la philosophie du langage, sans se douter que les Wiliam James Lectures seront le centre de la pragmatique linguistique pendant plus de trente ans. Austin propose une première classification, selon laquelle la signification des mots est influencée par le contexte dans lequel ils sont […]

2) Charles Morris

En 1938, Charles Morris distingue la syntaxe (qui est l’ensemble de règles qui combinent les signes entre eux), la sémantique (qui est l’ensemble de règles qui relient un signifiant et un signifié) et la pragmatique du langage. Il définit la pragmatique comme l’étude des relations entre les signes et leurs utilisateurs. Pour lui, elle consistait […]

1. Charles Sanders Pierce

La pragmatique linguistique a ainsi émergé au début du XIX siècle avec Charles Sanders Peirce et son étude du processus sémiotique. Il a défini une triade du signe constituée d’un representamen, d’un objet et d’un interprétant. Le signe est la chair du langage, avant même que la syntaxe ne l’organise. Le representamen est le signe […]

III. Historique de la pragmatique

La pragmatique est une discipline récente, son étude ayant débuté au XIXème siècle avec le courant philosophique américain représenté par William James, John Dewey et Richard Rorty. Elle instaure un champ de recherche pour diverses disciplines : la psychologie, la philosophie, la sociologie, la linguistique et bien d’autres. Le terme pragmatique dérive du grec signifiant […]

3. Comment la compréhension du langage est-elle possible ?

Dès la naissance, le cerveau humain est constitué d’au moins cent milliards de neurones, dont chacun d’entre eux entretien entre 10 et 1000 connexions avec d’autres neurones (Rondal, 1999). Le langage provient essentiellement de l’hémisphère gauche, qui traite les informations séquentielles. L’hémisphère droit traite les informations spatiales. L’aire de Broca, située dans le cortex frontal […]

2. Comment le langage est-il réalisable ?

Parler est quelque chose de naturel et pourtant, la production de mots découle d’une mécanique de grande précision. Les poumons fournissent l’air qui fait vibrer les cordes vocales ; se sont ces vibrations qui sont à l’origine de la production des sons. Le son sera alors modifié par l’intervention des organes mobiles tels que la […]

1. Le langage est-il propre à l’humain ?

Tous les êtres humains ont un langage, propre à chaque culture. Le langage est un moyen de communication propre à l’espèce humaine. Il existe chez tous les humains une aptitude linguistique inscrite dans notre patrimoine génétique. Le langage aurait émergé il y a environ deux millions d’années avec l’homo erectus. Rondal (1999) explique que ce […]

II. La langue humaine

1) Le langage est-il propre à l’humain ? 2) Comment le langage est-il réalisable ? 3) Comment la compréhension du langage est-elle possible ? Page suivante : 1. Le langage est-il propre à l’humain ?Retour au menu : VALIDATION QUALITATIVE DU TOPL-2

I. Introduction

Le domaine de la pragmatique a émergé au XIXème siècle. Il a fait naître la question de la compréhension et de la production du langage en contexte social. Le langage se développe de façon innée dès les premiers mois de la vie, et continue de progresser continuellement jusqu’à l’âge adulte. Malgré un ensemble de recherches […]

Remerciements

Nous tenons tout d’abord à remercier le directeur et les directrices des écoles élémentaires de Frouard pour nous avoir accueillies au sein de leurs établissements. Nous remercions ensuite les instituteurs et institutrices des écoles pour leur coopération et leur amabilité. Merci à Monsieur l’inspecteur de Pompey qui nous a permis de réaliser cette étude, en […]

Etude comparative entre deux plantes (Typha latifolia et Phragmites Australis) à accumuler le zinc (Zn)

Auteurs : LAATRA MOHAMED, CHENINI HAMZA
Année de publication : 2013
Encadreurs : Mme. SEGHAIRI NORA, Mme . MIMECHE LEILA
Université Mohamed Khider – Biskra

Références bibliographiques

• AERM Etat des lieux des systèmes d’épuration des petites collectivités– Juillet 2007 Filtres plantés de roseaux à écoulement horizontal – p 8/8 • Alloway B.J.1995. In “Heavy metals in soils, seconde édition, Ed. Alloway B J., Blackie academic et professional, Londres (Rayome-Uni) • Boutin C. (1987). Domestic wastewater treatment in tanks planted with rooted […]

Conclusion Générale

Les activités humaines sont responsables d’une production importante de composés organique et minéraux à effets toxique pour l’environnement et la santé humaine. En particulier l’accumulation de métaux qui résulte des activités industrielles présente un potentiel toxique important tant pour les plantes qui sont directement exposées que pour la santé humaine via l’entrée dans la chaine […]

II.5.Conclusion

D’une manière générale, les résultats obtenus montrent que le zinc et fortement accumulé au niveau des tiges. Avec des seuils d’accumulation différents dans les deux cas étudiés (cas des Phragmite et ou Typha). Le Phragmite Australis est le plus accumulateur de zinc au niveau des tiges, que le typha avec un taux de 448.515 mg […]

II.4. L’accumulation du zinc au niveau des organes des plantes testées

II.4.1. L’effet des Phragmites Australis sur l’accumulation du zinc Certaines plantes sont capables de prélever les éléments traces métalliques par leurs racines ou les absorber par leurs feuilles et tiges (Allaway 1995.,Zayed, et al ,1998 et taylo G ,1983). Les plantes accumulatrices sont caractérisées par une capacité de transporter efficacement les métaux lourds des racines […]

II.3 L’effet épuratoire des plantes en fonction de la densité

Lorsque nous maintenons la concentration initiale égale à 5 mg/l de zinc et que nous faisons varier la densité végétale dans la gamme (d1=8 tiges /m², et d2 =12 tiges /m²) des résultats obtenus après 7 jours de contact, sont présentés sur (tableau II.1), (figure II.03), (figure II.04) et (figure II.05). Nous constatons que les […]

II.2 Influence du temps de séjour sur l’élimination de zinc sur filtres plantés et sur le témoin

Pour l’obtention d’une solution de zinc de titre connu, nous avons préparé une solution mère de zinc dans l’eau de robinet à 100 mg/l et par dilution, nous avons ajusté le titre dont la valeur a été toujours vérifiée par Spectrophotomètre d’absorption atomique. Nous avons effectué un remplissage de filtres avec une eau de robinet […]

II.1 Introduction

Parmi les matières qui représentent un risque potentiel pour la nature, figure les métaux lourds, qui sont des micropolluants de nature à entrainer des nuisances même lorsqu’ils sont rejetés en quantités très faibles, car leur toxicité se développe par bioaccumulation. L’industrie reste responsable de la quasi-totalité des rejets de métaux sous leurs différentes formes dans […]

Chapitre II : Elimination et accumulation du zinc sur des macrofiltres plantés de (Phragmites et de Typha)

II.1 Introduction II.2 Influence du temps de séjour sur l’élimination de zinc sur filtres plantés et sur le témoin II.3 L’effet épuratoire des plantes en fonction de la densité II.4 L’accumulation du zinc au niveau des organes des plantes testées II.5 Conclusion Page suivante : II.1 IntroductionRetour au menu : Etude comparative entre deux plantes […]

I.8. Conclusion

Après avoir donné un aperçu détaillé sur les méthodes et matériel utilisées pour la réparation des solutions dopées en zinc, de l’extrait végétal et le dosage du zinc. Nous nous sommes intéressés dans le prochain chapitre à étudier la capacité de ces plantes à éliminer et à accumuler le zinc dans leurs parties (tiges, feuilles […]

I.7 .Calcul de la quantité du métal accumulé en mg de Zn/g de matière sèche

Après les lectures au spectrophotomètre d’absorption atomique des solutions étalons. Le calcul de la quantité des métaux étudiés accumulés par gramme de matière sèche est déterminé par la méthode cité par. (Rayan J et al, 2001) Zn (mg/g) = (Cextrait – Ctémoin) * A/Wt. Avec : A : volume de l’extrait en ml (’50ml) Wt […]

I.6.Description du procédé d’accumulation du zinc

I.6.1. Préparation de l’extrait de végétal : I.6.1.1. Le lavage : Nous avons procédé à un rinçage rapide à l’eau permettant un simple dépoussiérage .Cette opération n’est pas nécessaire pour des échantillons prélevés pendant une période de pluie. Le lavage peut être différent selon le cas. Dans notre cas, nous avons trempé et remué l’échantillon […]

I.5 Dosage de zinc

I.5.1 Etablissement de la courbe d’étalonnage : I.5.1.1 Préparation de la solution mère de zinc : Nous avons préparé les solutions mères de 100 mg Zn/l dans l’eau bi distillée en utilisant le nitrate de zinc (Zn (N²),6 O) de masse molaire 297.39 g/mol. Dans une fiole jaugée de 1000 ml contenant environ 0.46 g […]

I.4.Description du spectrophotomètre d’absorption atomique

On a utilisé pour le dosage du zinc et du cuivre un spectrophotomètre d’absorption atomique à flamme de type A.A-6200 (ATOMIC ABSORBTION FLAMME CUISSION) de marque SHIMADZU5 (figure I.05). I.4.1.Principe de fonctionnement : La solution à étudier est pulvérisée dans une flamme ou elle est transformée on vapeur atomique .On envoie sur ces vapeur une […]