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3.2.2. L’information de type floue : (recouvre 40% des informations disponibles)

Elle est moins structurée que la précédente. C’est une information qui provient d’une manière générale de l’extérieur de l’entreprise, elle est recueillie par le personnel en contact avec les clients, les fournisseurs, les experts ou les commerciaux. Le recueil de ces informations nécessite la mise en place d’une stratégie de recherche et de collecte et […]

3.2.3. L’information de type expertise : (représente 10% de l’information)

Elle représente la connaissance des experts, de leur situation et de leur localisation ainsi que la mémoire de l’entreprise. Ce type d’information englobe la gestion des savoir-faire et des connaissances des personnes actives et non actives au sein de l’entreprise Page suivante : 3.2.4. L’information de type foires et salons : (représente 10% de l’information)Retour […]

3.2.4. L’information de type foires et salons : (représente 10% de l’information)

C’est une information qui représente un grand intérêt pour l’entreprise. En effet, la visite de stands des concurrents, la recherche d’informations ciblées, la collecte de dépliants et de prospectus publicitaires,… etc. nécessitent la mise en place d’une stratégie pour pouvoir intégrer et prendre en compte ces informations dans un processus global de veille. Cette information […]

3.3. Classification de l’information selon sa crédibilité :

Selon Henri DOU, nous pouvons distinguer les différents groupes d’informations suivants : Page suivante : 3.3.1. L’information formelle ou maîtrisable : Retour au menu : La mise en place d’un système de veille commerciale, Cas : Activité commercialisation/ Risk management SONATRACH

3.3.1. L’information formelle ou maîtrisable :

C’est une information écrite véhiculée par des supports papiers ou électroniques. Elle est issue des divers documents de l’entreprise, les articles de presse, les ordonnances, les textes réglementaires, les publications scientifiques, les banques de données, les brevets, les normes, etc. Il y a quelques années le support papier était le support privilégie pour ce type […]

3.3.2. L’information informelle ou non maîtrisable :

Elle concerne toutes les informations que nous pouvons recueillir lors de la tenue de salons et foires ou par la collecte de prospectus, d’emballages de produits et surtout par la rencontre ou le contact entre les commerciaux et les clients, les managers et les fournisseurs ou les experts et les cadres de l’entreprise. C’est tout […]

4. Les niveaux de l’information:

Selon Henri DOU, il existe trois niveaux d’informations : opérationnel, tactique et stratégique. Page suivante : 4.1. L’information opérationnelle ou de terrain :Retour au menu : La mise en place d’un système de veille commerciale, Cas : Activité commercialisation/ Risk management SONATRACH

4.1. L’information opérationnelle ou de terrain :

C’est une information très ciblée, précise, temporaire et de faible volume. Elle permet à ceux au niveau de la recherche et de la production d’avancer un travail bien précis. C’est une information relativement brute qui a subit très peu de traitements : synthèse d’un nouveau produit, connaissance d’une norme… etc. Elle peut s’obtenir en grande […]

4.2. L’information tactique :

Elle est moins précise et concerne un volume plus grand de données. Elle doit faire l’objet d’une analyse statistique en associant des experts. En fait, elle est fournie sous forme d’indicateurs sur les forces et faiblesses de l’environnement de l’entreprise. Cette information aura un intérêt pour ceux qui doivent gérer des projets, les développer, mettre […]

4.3. L’information stratégique :

Elle ne concernera pas directement une entreprise (sauf de grandes multinationales). Elle sera encore plus large que les précédentes et donnera des indications globalisantes et de grandes tendances. Dans le cadre de l’intelligence économique, celle-ci représente la principale activité ou le sommet du processus par lequel l’entreprise décèle les dangers et opportunités de son environnement, […]

5. Les sources d’information :

Il existe une grande variété de sources, les unes aussi pertinentes que les autres, pour alimenter une démarche de veille. Une veille efficace devrait inclure plusieurs sources, formelles et informelles, internes et externes. Nous entendons par source, tout support qui gère et stocke de l’information, comme des logiciels d’application bureautique, des bases de données (objets […]

5.1. Les sources formelles et informelles :

Page suivante : 5.1.1. Sources formelles (sources ouvertes) :Retour au menu : La mise en place d’un système de veille commerciale, Cas : Activité commercialisation/ Risk management SONATRACH

5.1.1. Sources formelles (sources ouvertes) :

Sont celles où il existe un support papier (support magnétique, papier, micro fiches…), elles regroupent pour l’essentiel les catégories suivantes : la presse (généraliste ou professionnelle), les livres, les autres média, les banques de données et CD-ROM, les brevets, les sources d’information légales…etc. Page suivante : 5.1.2. Sources informelles (sources fermées) :Retour au menu : […]

5.1.2. Sources informelles (sources fermées) :

Toutes celles qui n’appartiennent pas à la première catégorie et qui nécessitent généralement des actions de terrain (fournisseurs, concurrents, sous-traitants, voyages d’étude, expositions, colloques,…etc.). La grande caractéristique de ces sources est que l’information qu’elles procurent nécessite un travail personnel de l’individu qui veut la collecter. Il faut être au contact, c’est-à-dire se déplacer, passer de […]

5.2. Les sources internes et externes :

Page suivante : 5.2.1. Les sources internes :Retour au menu : La mise en place d’un système de veille commerciale, Cas : Activité commercialisation/ Risk management SONATRACH

5.2.1. Les sources internes :

Selon Yves NEGRO, les sources d’information internes disponibles dans toute entreprise sont : Tableau n°03 : Les sources internes Source : NEGRO, (Yves): L’étude de marché, édition Vuibert, Paris, 1987, p.41. Les informations internes sont peu coûteuses et directement exploitables par l’entreprise. Elles doivent être en permanence organisées, surveillées et actualisées. Elles constituent la mémoire […]

5.2.2. Les sources externes d’information :

Sont les informations qui viennent d’acteurs extérieurs à l’entreprise et peuvent être soit formelles (étude documentaire) soit informelles (observations et entretiens), Les sources d’informations externes ne sont souvent ni gratuites, ni immédiates, ni suffisantes ni forcément pertinentes. Page suivante : 6. Le management de l’information :Retour au menu : La mise en place d’un système […]

6. Le management de l’information :

L’information étant une ressource clé de l’entreprise, elle a besoin d’être gérée au même titre que les ressources humaines, les ressources financières ou les ressources matérielles. La gestion consiste à organiser et à utiliser au mieux les ressources de l’entreprise pour qu’elles contribuent de manière optimale à la réalisation des objectifs. Selon E.PATEYRON « La […]

Section 2 : la veille, concepts et enjeux

La veille est une discipline apparue récemment, elle découle d’une prise de conscience de la nécessité de mettre en place une nouvelle forme de gestion de l’information tournée vers des notions de qualité et non plus de quantité. En effet, la veille suppose d’apporter une valeur ajoutée à l’information collectée et capitalisée par son traitement […]

1. Historique et évolution :

Historiquement, L’apparition du concept de la veille remonte aux années 50 avant J.C dans le domaine militaire après il commençait à se développer et à se propager dans les autres secteurs d’activité. Des exemples permettent de retracer une origine plutôt lointaine, notons simplement la légende du soldat de Marathon qui mourut pour informer les Athéniens […]

2. Définition de la veille :

Le mot « veille » est à prendre dans son sens exact et qui signifie être éveillé, être en état de réceptivité, être prêt à détecter quelque chose qui pourrait se produire sans que l’on sache exactement quoi ni où. L’attention est au repos mais prête à se déclencher à la moindre alerte. L’activité de […]

3. Structures de la veille :

La nature de la structure à mettre en place diffère en fonction de la taille de l’entreprise, le secteur concerné, les moyens et la maturité face à la veille. Lors de la mise en place d’un système de veille, il est nécessaire de choisir la structure la plus adaptée aux moyens et besoins de l’entreprise […]

3.1. La structure concentrée :

elle concerne une cellule de veille centralisée situé prés de la fonction stratégique de l’entreprise et elle comprend un groupe de personnes travaillant à temps plein ; Page suivante : 3.2. La structure repartie : Retour au menu : La mise en place d’un système de veille commerciale, Cas : Activité commercialisation/ Risk management SONATRACH

3.2. La structure repartie :

il s’agit d’une cellule de veille animée par un responsable de veille à temps plein et basée sur un réseau de correspondants à temps partiel. Ici c’est le cas de la veille projet, où l’on fait intervenir des experts en fonction de compétences que nécessite le sujet traité. Page suivante : 4. Les acteurs de […]

4. Les acteurs de la veille :

Le processus de veille n’est pas une tâche isolée d’une ou de deux personnes mais il est réellement transversal, fondé sur des réseaux, faisant intervenir plusieurs personnes situées à plusieurs niveaux et de manière organisée. Le processus de veille met en jeu quatre types d’acteurs qui ont des activités et des profils différents : Page […]

4.1. L’animateur :

Il est présenté comme un acteur dont le rôle est de communiquer aux veilleurs les besoins en informations formulés par les décideurs et de diffuser celles qui sont collectées et analysées. Sa mission n’est pas cernée correctement et ses aptitudes ne sont pas précisées. L’animateur de la veille coordonne les activités de chaque acteur du […]

4.2. Les experts :

Il s’agit des experts qui disposent d’une connaissance parfaite de leur domaine d’intervention. Ils analysent et valident l’information collectée par les veilleurs pour dégager les informations élaborées à forte valeur ajoutée. Le fruit de leur collaboration est une synthèse à haute valeur ajoutée, un outil d’aide à la décision qui sera transmis pour exploitation aux […]

4.3. Les décideurs :

Les décideurs de l’entreprise sont les clients des informations de veille, ils sont présents aussi bien au début du processus de veille qu’à la fin, leur rôle se situe donc en amont et en aval du processus de veille Ils définissent les besoins et les manques informationnels et exigent la remontée d’informations élaborées, afin de […]

4.4. Les veilleurs : appelés aussi (capteurs, traqueurs, correspondants),

AFNOR a donné la définition suivante au veilleur: « personne qui, dans un environnement professionnel, est chargée d’assurer des fonctionnalités d’un système de veille »(1) Dans un service de veille, il existe différents profils de veilleurs : 1 AFNOR, http://www.afnor.fr/portail.asp. (13/12/2009 à 20h15). Page suivante : 4.4.1. Le responsable de la veille :Retour au menu […]

4.4.1. Le responsable de la veille :

C’est la personne en charge de définir une stratégie pour la mise en place du système de veille. Elle a aussi la responsabilité de gérer les différents réseaux des acteurs de la veille, y compris celui des experts. En assurant cette responsabilité, elle joue le rôle de veilleur-animateur. Le responsable de veille se charge aussi […]