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TITRE II : LES LIMITES DE L’INTERVENTION DE L’ASSURANCE PRIVEE DANS LE RISQUE KIDNAPPING

Dans la mesure où les questions que peuvent soulever les prises d’otages de ressortissants français sont « politiquement complexes », il est légitime de remettre en question l’utile recours à une assurance K&R, comme celle décrite dans la Partie II de cette étude.

La remise en question se fait d’abord d’un point de vue de la licéité d’une police K&R (Chapitre 1) avant d’être effectuée sous l’angle de sa véritable utilité (Chapitre 2).

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