L’entreprise a un impact sur son environnement, et celui-ci réagit en retour aux pressions émises par l’entreprise. Pour mieux comprendre ce mécanisme d’influences réciproques, nous avons choisi de travailler à partir de la théorie des systèmes.
Cette théorie implique en effet une interaction des organisations avec leurs environnements. Toute entreprise interagit avec la société. Il en résulte des conséquences positives (ou non) pour le développement de l’entreprise. Ces conséquences sont les résultantes des pressions et d’un changement provenant de la concurrence, de l’environnement politique, juridique, culturel ou des publics internes. Chaque entité lutte pour se maintenir et faire prévaloir ses droits, ce qui entraîne un perpétuel mouvement d’adaptation des entreprises. Si nous rapportons cette théorie à l’Enitex, c’est pour connaître dans un premier temps les mécanismes mis en place par les responsables de cette structure pour appréhender les mouvements de leur environnement professionnel et social. Ensuite, il serait intéressant de savoir comment cette entreprise communique afin de s’adapter à ces mouvements de la société. Enfin, nous verrons si cet ajustement de la structure correspond aux exigences de toutes les forces environnantes.
Si la carte d’identité permet de résumer les caractéristiques physiques et l’origine d’un individu, celle que nous ferons de l’Enitex devrait nous permettre de ressortir ses valeurs et sa perception de l’environnement dans lequel elle voudrait se développer ainsi que les rapports de celle-ci avec son public cible.
Lorsque nous examinons la taille de l’Enitex, nous remarquons que cette entreprise ne sera plus que vulnérable et à la merci de ses concurrents de l’étranger, si celle-ci n’adopte pas des stratégies beaucoup plus adaptées.
En termes de croissance par rapport aux autres entreprises du même secteur d’activité, l’Enitex a un rythme de moins en moins appréciable depuis ces quatre (4) dernières années.
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