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Section 1 : les projets de mécénat et de Développement Durable

ADIAL

L’assurance est « un métier de société »(243), elle s’insère et s’adapte en fonction des évolutions de cette dernière. Le changement climatique métamorphose peu à peu l’environnement et par conséquent, la société s’en trouve modifiée, l’assurance se doit d’apporter des solutions, et parmi le panel de solutions et opportunités de développement dressé dans cette partie, existent les projets de long-terme. Face au changement climatique, l’assurance s’engage et innove par des projets de mécénat (A) sans oublier la révolution « verte » au sein de son activité d’entreprise : réduction de CO2, gestes éco-citoyens, Charte de l’environnement (B). L’assurance évolue, il est certain.

A- Les projets Mécènes

Le secteur de l’assurance est un Mécène de longue date, l’acquisition d’oeuvres d’art et autres grands projets artistiques sont souvent soutenus par les différentes associations mécènes créées par des assureurs. AXA a notamment soutenu l’acquisition s’une toile de Nicolas Poussin destinée au Musée des Beaux-Arts de Lyon(244). Lorsqu’il s’agit de climat, le mécénat prend une toute autre ampleur, la recherche est le premier bénéficiaire des projets mécènes de la profession. D’autres projets originaux ont été mis en place par les différents acteurs du secteur et trois d’entre eux feront l’objet d’un focus. Les assureurs sont déterminés à s’inscrire dans la durée dans la lutte contre le réchauffement climatique. L’intérêt principal découle de leurs engagements contractuels, comme démontré plus tôt. Afin d’organiser une lutte efficace contre les mutations du climat, il convient de connaitre au préalable les conséquences probables et pouvoir les modéliser statistiquement. Les acteurs financent la recherche internationale vouée au réchauffement climatique.

Depuis 2010, l’assureur General soutient financièrement la Chaire de mécénat « Actuariat Responsable : Gestion des risques naturels et changement climatique» en partenariat avec l’IFSA(245). Elle a pour but d’intégrer problématique de mesure des risques liés au réchauffement climatique dans la constitution de modèles actuariels afin de sécuriser le processus décisionnel et de gestion globale du risque. En effet, le changement climatique démontre que les variables utilisées jusqu’à présent, pour mesurer un risque ne sont in fine pas stationnaires, aussi de nouveaux modèles doivent être construits afin que les assureurs puissent adapter leurs activités, leurs produits et les composantes que sont les primes et les garanties. Les travaux de la chaire se focalisent sur plusieurs projets qui sont l’élaboration de modèles de mesures de risques dynamiques, adaptés à des processus de températures ou de précipitation, en vue de la modélisation des phénomènes extrêmes de canicule, ou encore de sécheresse. La chaire s’intéresse à la modélisation des risques d’inondation par débordements directs afin de déterminer l’étendue de dégâts selon les zones géographiques. Enfin, la chaire organise fréquemment des « workshops de synergie» avec des climatologues, des météorologues, des économistes et des actuaires afin de partager les avances scientifiques des différents domaines représentés.

Le 24 juin 2013, le fonds AXA pour la recherche, a annoncé le don d’un million d’euros à l’Impérial Collège London en vue de la création d’une Chaire sur la biosphère et ses conséquences climatiques. Cette chaire(246) sera portée par le Professeur Colin Prentice, contributeur de renom du GIEC. Elle aura pour objet le recentrage des études et du débat sur le réchauffement climatique sur la biosphère. Aujourd’hui, les modélisations se focalisent essentiellement sur la physique et la chimie, et omettent la connaissance du rôle de la faune et de la flore et de leur écosystème. Concrètement, il s’agit en l’occurrence de « rassembler et d’appliquer des données quantitatives fiables sur l’effet et les risques de variabilité climatique pour l’alimentation, les fibres, la production énergétique en tenant compte de leur fonction, de leur biodiversité et les interactions avec le climat. » Le fonds AXA pour la recherche ne se définit pas uniquement en fonction de ce projet. Ce fonds mécène, créé en 2007, a déjà fait don de plus de 99 millions d’euros afin de favoriser le développement de projets de recherches pouvant « aider à comprendre et prévenir les risques environnementaux, socioéconomiques et pesant sur la vie humaine ». Ces fonds ont soutenu le développement de 367 projets de recherches menés dans 27 pays par des chercheurs de 49 nationalités. AXA a annoncé le 20 juin 2013, le déblocage de 100 millions supplémentaires sur 6 ans afin de partager « les découvertes académiques et mieux éclairer le débat public et alimenter les propres modélisations statistiques d’AXA. » L’assureur dit répondre au « souhait du groupe de promouvoir une société plus sure et plus forte à long-terme. »

En parallèle des projets de mécénat scientifique, les assureurs s’engagent via des projets mécènes plus ponctuels d’éducation et de solidarité. Ces projets ne sont pas liés à des conséquences de catastrophes majeures, qu’elle soit d’origine humaine ou naturelle, ils sont liés à l’engagement pris et répété de lutter, à une échelle locale et durable contre les effets du réchauffement climatique, en amont grâce à la réduction des gaz à effet de serre, ou en aval par des initiatives de reforestation, par exemple. Ces projets mécènes sont nombreux au sein des acteurs de la profession, mais certains engagements méritent une attention particulière par leur originalité.

Les assureurs financent des projets de mécénat impliquant leurs collaborateurs. Allianz France a mené une action de mobilisation de ses collaborateurs pour des projets de reboisement en France comme à l’étranger, et plus précisément au Sénégal. Ce projet « Reforest’action » a eu lieu en 2011 et a été reconduit en 2012 en raison de son succès. 700 collaborateurs ont été acteurs de cette action de mécénat et au total 33 000 arbres ont été plantés au Sénégal et 5 000 en France.

Les assureurs financent également des projets de mécénat impliquant leurs assurés. La MAIF, a mis en place une plateforme de « solidarité climatique » dès 2004 dans le cadre d’Euresa(247). Cette plateforme internet permet aux sociétaires de la MAIF, mais aussi à ceux de la Matmut, la de Macif, d’IMA, de P&V, et de DEVK, respectivement assureurs belge et allemand, de s’informer sur les enjeux du réchauffement climatique, d’évaluer leur empreinte carbone, soit leur consommation de CO² en raison de leurs habitations ou de leurs véhicules. La plateforme innove et propose aux sociétaires de compenser leurs émissions de CO² ainsi calculées par le biais de dons auprès de l’association Groupe Energies Renouvelables Environnement et Solidarités(248). Les compensations carbones récoltées ont rendu possible le financement d’un projet de diffusion de fours de cuisson améliorés au Cambodge. Ce pays en voie de développement voit 80% de sa consommation énergétique couverte par le bois dont l’utilisation intensive menace gravement les ressources naturelles et la biodiversité locale, avec des effets sanitaires collatéraux désastreux. L’association GERES a développé en 2001, un four de cuisson domestique « New Laos » sur le modèle des fours locaux traditionnels, à la différence près qu’il est 25% moins énergivore. Le financement par compensation carbone proposé par la plateforme « solidarité climatique » a aidé le développement de ce projet et son insertion dans la vie économique du pays, ce sont plus de 1,6 millions de fous qui ont été diffusés à travers 18 provinces du Cambodge. Ces fours sont produits dans 41 centres locaux de fabrication. Il a contribué à la préservation de cinq mille hectares de forêts. Le projet a été récompensé par quatre prix : Prix ASHDEN en 2006, Prix US EPA en 2007, Prix U.E. Energy Globe en 2008, Prix PCIA (Partnership for Clean Indoor Air) Award – Global Leadership en 2011.

Les assureurs se positionnent en acteurs de proximité et financent des projets plus proches de leurs assurés, la GMF soutient depuis 2008 les Parcs Nationaux Français, poumons verts français au travers d’une action de mécénat environnemental sous la thématique « la nature en partage » dont le but est d’encourager et de favoriser l’accessibilité de ces parcs aux personnes à mobilité réduites ou porteuses de handicap auditif, visuel ou intellectuel. L’assureur finance l’accessibilité des sites afin que ces derniers puissent être en conformité avec la réglementation idoine aux ERP(249).

Les assureurs s’impliquent aussi auprès d’organisations non-gouvernementales afin d’aider les populations les plus vulnérables dans le cadre de projets d’éducation, orientés vers les risques liés au changement climatique. A cet effet, la Munich Re Foundation a financé en janvier 2011(250) un programme au Mozambique visant à mettre en place un système d’alerte aux inondations, dans la région de Sofala, affectée par des inondations récurrentes. Le système enregistre les données pluviométriques et variations de températures et la montée des eaux de la rivière avoisinante. Le système en place s’est avéré très efficace lors d’inondations récentes, il a permis de sauver des biens et des personnes de la région. De son côté, AXA s’est associé à CARE dès 2011 et pour trois ans, sur deux projets internationaux. Le premier programme « where the rain falls », un projet de recherche sur l’impact des intempéries sur les flux migratoires et les famines en Inde et en Thaïlande entre-autres.

Le second programme s’articule en une série d’actions de sensibilisation à la prévention des catastrophes naturelles auprès des populations menacées au Vietnam, aux Philippines et à Madagascar. Ces actions éducationnelles visent à réduire l’impact humain et économique de ces catastrophes. Les collaborateurs du groupe sont invités à participer à ces deux projets. Lors du l’annonce du partenariat, Henri de Castries(251) a précisé que « Les récentes catastrophes naturelles à travers le monde ont démontré l’importance de la prévention afin de réduire les conséquences de ces drames. A travers notre métier d’assureur, nous avons développé une connaissance et une expertise des risques. Nous souhaitons mettre ce savoir-faire au service de la société, car une meilleure connaissance des risques permet de mieux les maîtriser et y faire face. ».Cette position et ces initiatives font du secteur de l’assurance, un secteur conscient des enjeux climatiques présents et futurs. D’un point de vue plus large, l’assurance est également un secteur économique dont l’empreinte carbone peut être améliorée. Les assureurs, français en l’occurrence ont eu conscience de leur impact dès 2009 et se sont engagés à insérer le développement durable comme une constante de la gouvernance d’entreprise.

B- Le Développement Durable, nouvelle ligne directrice interne

Le 8 Décembre 2008, l’ONG environnementale les « Amis de la Terre » a publié un rapport intitulé « Assurance française, changement climatique garanti ? »(252). A travers ce titre accrocheur, l’ONG mettait en avant le fait que l’Assurance était un secteur « d’ouverture aux enjeux climatiques supérieure au secteur bancaire» cependant, le Développement Durable, soit…. N’était pas intégré dans la gestion des assureurs en tant que paramètre de business model. Ce constat était le résultat d’une enquête menée auprès de quinze professionnels majeurs français(253). Cette enquête a permis de mettre en évidence 3 dimensions de la politique de développement durable, c’est-à-dire la politique climatique globale, les produits d’assurance et la gestion d’actifs. Le premier point fera l’objet d’un développement immédiat alors que les deux autres seront détaillés par ailleurs, la gestion d’actifs sera abordée dans la section suivante.

Le climat, objet d’études, de recherches, de modélisations statistiques, ne semblait pas être une dimension intégrée à la politique globale d’entreprise du secteur, lorsque l’ONG précité a publié son rapport en 2008. Cette période correspondait à un éveil des consciences au sein des acteurs du secteur quant à leurs usages et leur impact sur le climat. Cette sensibilité s’est manifestée par la publication par l’Association Française de l’Assurance(254) en janvier 2009, d’une charte du Développement Durable dans l’assurance, qui a pour vocation l’intégration des problématiques environnementales au coeur du management de l’entreprise.

La charte met en avant la « position privilégiée » de l’assurance « pour promouvoir les actions contribuant au développement durable en raison de son utilité sociale et économique, de son rôle – d’analyste du risque, et de son engagement à long terme » pour comprendre les mutations de la société et es accompagner en investissant dans la durée afin de couvrir les « engagements contractés auprès des assurés (255)».

Pour ces raisons, la charte est destinée à « responsabiliser et engager la profession », Gérard Andreck(256), alors président de l’AFA précisait alors que la charte avait fait « l’objet de nombreuses concertations » et qu’elle devait « avoir valeur d’engagement pour tous ». Cet engagement se décline en 5 axes :

– se positionner en tant qu’acteur responsable sur le développement durable,
– contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique,
– accompagner le développement de l’économie,
– participer à la réduction des vulnérabilités sociales et contribuer à une protection sociale durable,
– favoriser une politique d’investissement socialement responsable

La charte, rappelée par la FFSA et le GEMA(257) a valeur d’usages pour la profession. Concrètement, il semble intéressant de voir comment ces engagements sont perpétués et traduits quelques années plus tard au travers d’illustrations et d’initiatives de la profession. Les entreprises d’assurances publient des rapports annuels d’activités qui intègrent la dimension environnementale. Les rapports contiennent une rubriques clairement détaillée traitant de la responsabilité sociale et surtout environnementale des entreprises d’assurance. AXA(258), dans son rapport d’activités 2012, rappelle ses engagements soit « agir pour réduire l’empreinte directe et indirecte » sur l’environnement en diminuant les rejets de CO², de déchets, la consommation de l’entreprise en termes d’énergie, d’eau et de papier, l’assureur souhaite aussi encourager les comportements responsables des clients et de ses collaborateurs par le développement de gestes éco-citoyens. Le Crédit Agricole Assurances(259), a lancé le 25 janvier 2013, une nouvelle roadmap de responsabilité sociale et environnementale. Les engagements environnementaux sont expressément : la limitation de l’empreinte carbone par la prise en compte de critères extra-financiers, l’incitation des assurés à des comportements vertueux via des réductions tarifaires lors d’achats de véhicules moins polluants.

La CNP, premier assureur vie français, va plus loin. Dans son rapport annuel 2012(260), au sein de la rubrique « responsabilité sociale et environnementale », l’assureur donne des éléments chiffrés quant aux résultats de ses engagements. La consommation de papier a été réduite de 25% sur 2012. La réduction des émissions de CO² par collaborateur pour le fonctionnement interne de l’entreprise(261) est de 10% alors que l’objectif initial était de 6%. La CNP s’est aussi engagée à étendre l’intégration des critères ESG(262) dans l’ensemble de ses actifs à 80%, au lieu des 70% d’objectifs. Les investissements socialement responsables, qui feront l’objet de la section suivante, se sont accrus de 2% en 2011 mais cette tendance n’était que de 1,55% sur 20l2.

Le critère d’évaluation principal de ces indicateurs est la protection de l’environnement dans la fabrication, la distribution, l’utilisation et l’élimination des produits d’assurance.(263) La GMF (264) précise que les initiatives de responsabilité sociale et environnementale ont eu pour résultat direct une réduction de 10,4% de ses émissions de CO² entre 2008 et 2011. La consommation de papier a diminué de 11% en 2010. L’entreprise a même diffusé une charte interne pour la consultation de prestataires afin que les « achats » de l’assureur répondent à des critères environnementaux et éthiques.

Allianz France,(265) dans son rapport RSE 2012, précise que «par rapport à 2006, la consommation d’énergie totale a été réduite de 42 % en 2011 et de 47 % en 2012, la consommation de papier a été réduite de 11% sur 2012 avec 1 835 tonnes » pour Allianz France. Les enjeux du changement climatique, ont été traduits avec un certain succès à la gouvernance d’entreprise au sein du secteur de l’assurance par les actions concrètes précitées. De manière concomitante, les assureurs ont développé une diversification de leurs actifs financiers afin de répondre à leurs engagements « socialement responsables ». Comme le démontrait le rapport des Amis de la Terre, les activités des assureurs, notamment sur la branche vie, dont la gestion d’actifs représente un volume d’émissions équivalent à 90% de celui d’un pays comme la France en 2006.

Les assureurs Français gèrent plus de 1 500 milliards d’euros, somme qui pourrait se transformer en levier en faveur de la protection de l’environnement si elle était investie selon des critères respectueux de ce dernier. Gérard Andreck (266) indiquait le 5 décembre 2012 « Nous devons construire une offre de produits d’investissements socialement responsables, développer la recherche sur ces sujets et soutenir les initiatives en la matière » (Section2).

243 Rapport RSE 2012, Allianz France
244 Acquisition de la toile la Fuite en Egypte de Nicolas Poussin, Palais Saint-Pierre, Lyon. http://www.axa.com/fr/responsable/societe-civile/mecenat-culturel/
245 Institut Français supérieur d’actuariat : http://isfa.univ-lyon1.fr/workshop-generali?language=en
246 Créée en partenariat avec l’Institut Grantham sur le changement climatique.
247 Groupement d’intérêt économique européen : http://www.euresa.org/index.php?id=945
248 GERES : association à but non lucratif créé en 1976 dont l’objet est l’amélioration des conditions de vie des populations vulnérables au changement climatique en proposant des biens et services à faible consommation énergétique au niveau économique local. GERES représente plus de 200 collaborateurs conduisent près de 40 projets de développement durable innovants, en France et dans 12 pays de l’hémisphère Sud.
249 Accessibilité des Etablissements recevant du public, loi du 11 février 2005 Loi n°2005-102 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées et décret d’application du 17 mai 2006Décret N°2006-555.
250 http://www.munichre-foundation.org/home/DisasterPrevention/Mozambique/Flood-warning-in-Mozambique-Report2012.html
251 Président Général du Groupe AXA, communiqué de Presse du 18 Avril 2011. AXA. http://www.axa.com/lib/fr/uploads/cp/groupe/2011/AXA_CP_20110418.pdf
252 L’objet de l’enquête était de mesurer les émissions de CO2 et les stratégies de réductions conduites par ces entreprises.
253 Enquête menée pendant 8 mois auprès de : AG2R La Mondiale, Allianz, Aviva, AXA, CNP, Generali, Groupama, MACIF, MAIF, MMA, BNP Paribas Assurances, CA LCL, Crédit Mutuel CIC, Natixis, Société Générale.
254 www.Associationfrançaisedelassurance.fr, ci-après AFA.
255 http://www.associationfrancaisedelassurance.fr/webassfass/assfass.nsf/html/l-association-francaise-de-l-assurance-se-dote-d-une-charte-de-developpement-durable/$file/20090120-charteDD.pdf
256 Président de la Macif, du GEMA et de l’AFA. Annonce de la charte le 5 décembre 2012
257 http://www.ffsa.fr/sites/upload/docs/application/pdf/2011-01/dpliantcharteprecran.pdf
258 http://www.axa.com/lib/fr/library/rac/groupe/14294.aspx
259 http://www.credit-agricole.com/Etre-engage-et-responsable/FReD-une-demarche-RSE-originale/3-Referentiels-20-axes-de-progres
http://www.credit-agricole.com/Etre-engage-et-responsable/Espace-analystes/Indicateurs-environnementaux
260 http://www.cnp-finances.fr/sites/default/files/pdf/communiques/informations-sociales-societales-et-environnementales2012.pdf
Indicateurs RSE 2012.
261 Par rapport à l’exercice 2009.
262 Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance. http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/compta-finances/221138601/criteres-esg-impactent-role-directeur-financier
263 Vigeo a défini ces critères en vue de la notation environnementale de ces entreprises.
264 http://www.gmf.fr/groupe-gmf/decouvrez-gmf/entreprise-responsable/bilan-carbone.jsp
265 Allianz France RSE complet 2013.
266 Président de la Macif, du GEMA et de l’AFA. Discours du 5 décembre 2012

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