En premier lieu, mes remerciements s’adressent bien évidemment à mes tuteurs
universitaires, Monsieur Jean-Jacques Legrand et Madame Catherine Denève.
Monsieur Legrand pour sa disponibilité permanente, ses conseils avisés et sa rigueur
méthodologique, qui, à toute heure, m’ont permis de croire en la réalisation de pareille
entreprise, mais aussi pour sa franchise et son humour frontalier, tentant désespérément
d’apaiser mes doutes et mon perfectionnisme handicapant.
Madame Denève pour sa sympathie, sa clairvoyance et sa perspicacité, qui, dans un
langage plus réfléchi, a su traduire mes perspectives de travail et mes équations statistiques.
Sa collaboration, en connivence avec mon caractère et l’évolution de mes réflexions, s’est
révélée être un réel atout et un gain de temps inestimable.
Je tiens également à remercier le corps professoral qui m’a accompagné durant ces cinq
années, et notamment Madame Catherine Demarey pour la justesse de son soutien, ses
recommandations, et son exigence tendant constamment à nous faire atteindre l’excellence.
Ce mémoire n’aurait vu le jour sans ce lieu de stage singulier, aussi je remercie
chaleureusement mon tuteur de stage, Monsieur Dondainas, pour m’avoir permis d’intégrer
Visteon malgré ce contexte mouvementé. Esclave d’un emploi du temps surbooké, il m’a
donné l’occasion de découvrir le monde de l’entreprise de mon propre chef et en a favorisé
ma posture de neutralité.
Je remercie les représentants syndicaux, et notamment Monsieur David Herszer qui, par
l’accueil chaleureux qu’il m’a réservé lors de mon deuxième jour de stage, a su me démontrer
l’importance du jeu des acteurs dans une organisation, et d’autant plus dans un contexte tel
que celui-ci. Cet épisode a également suscité une remise en question de ma posture de
psychologue, témoignant ainsi de la ténacité des stéréotypes de ce métier et de l’intérêt de
communiquer plus largement sur le rôle, les activités et missions du psychologue DU
TRAVAIL.
Plus encore, je tiens à remercier tous les salariés de Visteon, et principalement ceux
présents sur le site de Carvin pour leur contribution implicite ou explicite à l’élaboration de ce
projet universitaire. C’est auprès d’eux que ce cheminement théorique et méthodologique
s’est construit, c’est avec eux qu’il s’est concrétisé. J’adresse un remerciement tout particulier
à Philippe pour avoir facilité mon intégration sur le site de Carvin et enseigné les us et
coutumes de l’usine. Son franc parler m’en a appris énormément, et ce en très peu de temps.
Je remercie également tous les salariés qui m’ont accompagné quotidiennement durant ces
quatre mois ; Laurent, L., David, Bruno, Olivier, Céline, Stéphanie, Jean-Patrick, Dominique,
Thibault, Mickael, Jean-François, Gaëtan, Pascal, Vianney, Laurent, W., Cyril, Corinne…
pour les autres, pardonnez mes oublis, je ne me souviens que des surnoms (la faute à
Philippe).
Mes pensées vont également vers ma famille et belle-famille, Benjamin, Marina, Célia,
Brigitte et Jean, Pascale, Mamie Line, Delphine, Nicole et Gabriel, Pascal et Aurélie, qui
auront, chacun à leur manière, tenté de me faire relativiser, en vain…
Je tiens à remercier mon grand-père Michel pour le vif intérêt qu’il a porté à mon
travail, ses remarques pertinentes et les innombrables connaissances qu’il me transmet depuis
plusieurs années, acquises par un parcours professionnel émérite.
Enfin je tiens à remercier la personne sans qui rien n’aurait été possible (ou alors dans
une moindre mesure), Thomas, qui, en cette année difficile, a su se montrer patient,
compréhensif, aimant et surtout rassurant. Sa curiosité, son intérêt, ses encouragements, sa foi
en moi, me donnent chaque jour l’envie de me dépasser afin de donner raison à tant
d’attentions. Qu’il trouve ici toute ma reconnaissance et mon amour.
Je dédie ce mémoire à mon père,
Qui, en accompagnant quotidiennement mes écrits et mes pensées,
M’a donné la force d’avancer au lieu de tout abandonner.