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IV. INTEGRATION DU TRAVAIL SOCIAL

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« Depuis le décret de Mars 1978 qui détermine l’obligation de l’institution d’un
« conseil de maison », première structure de consultation et d’échanges entre les
résidents, les familles et les autorités de l’établissement, jusqu’à la loi de 2002
rénovant l’action sociale et médico-sociale qui inscrit en priorité les nouveaux droits
des usagers, la montée en puissance des réflexions et de l’exigence de pratiques
respectueuses du citoyen hébergé reste, malgré sa lenteur une constante de l’action
sociale et médico-sociale au niveau national. »(52)

« Loin d’être un phénomène négatif, l’augmentation du nombre de personnes âgées
oblige cependant à revoir le mode d’organisation des services qui leur sont offerts.

Des ajustements du système de prise en charge et particulièrement des services
sociaux s’imposent donc pour répondre adéquatement à ces besoins, à la fois plus
nombreux mais également différents de ceux des populations plus jeunes pour
lesquelles le système actuel a été conçu. »(53)

Il est pertinent de repérer la place laissée par la législation à la fonction d’assistant
social en maison de repos avant d’envisager l’intégration de cette fonction dans le
projet de vie.

52 Gérard BRAMI, Le point sur les droits des personnes âgées hébergées, Ed Berger-Levrault, Mars 2007, P 9.
53 C. HUBERT, W. D’HOORE, C. SWINE, P. CORNETTE, M. HUBINON, J. MELIN, « Modèle de prise en
charge des personnes âgées aux cliniques universitaires Saint-Luc : une approche basée sur la planification en
santé », Ed. Douvain médical, Juin-Juillet-Août 2004, p 120.

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