Gagne de la cryptomonnaie GRATUITE en 5 clics et aide institut numérique à propager la connaissance universitaire >> CLIQUEZ ICI <<

II.1.3.b. Les tests de marches.

Non classé

Ce sont dans les années 1970 qu’apparaissent véritablement les premiers tests de marche à durée imposée. Afin d’obtenir une estimation supplémentaire de la tolérance à l’exercice, le test de Cooper est adapté à une population souffrant de BPCO [28]. Au fil des années, ce test de 12 minutes est raccourci à 6 minutes [29]. Le test de marche de 6 minutes est un test d’intensité sous maximale possédant, selon Enright [30] ou Troosters [31] des équations prédictives de distance chez le sujet sain en fonction de l’absence ou non d’encouragement lors du test. (ANNEXE 5). Pour le TM6, l’épreuve consiste à parcourir en marchant, la plus grande distance en 6 minutes. Ce test était réalisé dans un couloir où des chaises étaient placées à une distance de 30 mètres l’une de l’autre. Le patient devait alors réaliser le plus grand nombre d’aller-retour en 6 minutes.

Figure 4 Comparaison de deux modalités de réentraînement à l’effort au sec et en immersion chez des patients en réhabilitation respiratoire.Figure 4. Schéma du test de marche.

Le nombre d’allers-retours était comptabilisé afin d’avoir la distance parcourue au terme des 6 minutes de marche. De manière générale, le TM6 permet d’estimer la tolérance à l’effort d’une personne, sa finalité est donc d’évaluer la capacité de l’individu à tenir un effort physique [32].

Page suivante : II.1.3.c. Mesure de la qualité de vie.

Retour au menu : COMPARAISON DE DEUX MODALITES DE REENTRAINEMENT A L’EFFORT AU SEC ET EN IMMERSION CHEZ DES PATIENTS EN REHABILITATION RESPIRATOIRE