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II-L’insécurité du marché de l’art contemporain :

ADIAL

« L’art est un bien rare, durable, qui offre à son détenteur des services esthétiques
(plaisir esthétique), sociaux (distinction, prestige) et financiers. Elle ne procure pas de
revenus, mais du fait qu’elle est un bien meuble, susceptible d’être revendu avec une
éventuelle plus-value, elle constitue un objet potentiel de placement alternatif à d’autres
actifs(41) » – Raymonde Moulin.

L’art contemporain, est devenu au fil des années, un domaine de placement financier, et par
conséquent un objet de spéculation (A). Une tendance encouragée par les acteurs du marché et
en particuliers, les maisons de ventes aux enchères (B).

41 Raymonde Moulin, « le marché de l’art : mondialisation et nouvelles technologies », Ed Champs arts, P 45

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