Gagne de la cryptomonnaie GRATUITE en 5 clics et aide institut numérique à propager la connaissance universitaire >> CLIQUEZ ICI <<

CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE

Non classé

Nous avons tout au long de cette partie analyser les différentes approches doctrinales montrant l’importance de l’environnement non seulement comme un espace abstrait et subjectif, mais comme un bien économique à vendre. Ces approches théoriques nous ont permis de comprendre que la création des espaces naturels urbains peut jouer le rôle de boussole dans les politiques d’aménagement des territoires et contribuer ainsi à la promotion de ces derniers et de l’environnement en général.

Aussi nous avons au cours de notre développement montrer que la cité de Douala en général reconnue comme le poumon économique de la sous régions CEMAC, doit continuer à occuper sa place de leader incontestable par la diversification de ses atouts dont le parcours Vita protégé et conservé peut constituer un élément. De ce point de vue, l’espace Vita longtemps considéré comme espace de sport, est logé dans une nature sauvage au coeur de la zone résidentielle de Douala 5ième et répond mieux à cet objectif d’aménagement des territoires si nous nous en tenons à ses fréquentations, à son environnement biogéographique à ses lacs et à sa rivière Nkondi.

Page suivante : SECONDE PARTIE : LA PROTECTION ET LA MULTIFONCTIONALITE.

Retour au menu : PROBLEMATIQUE DE LA CREATION DES AIRES PROTEGEES AU CAMEROUN : CAS DU PARCOURS VITA DE DOUALA.