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CONCLUSION

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LA République Démocratique du Congo est dotée d’importantes ressources naturelles (agricoles, minières, énergétiques, halieutiques, touristiques…) dont l’exploitation devrait être le gage de son développement économique et social. A l’indépendance (1960), le pays disposait d’un tissu économique intégré qui s’est, à la suite des troubles, pillages, guerres et mesures politico-économiques inadaptées compromis les bonnes perspectives de son développement. Cette situation renforce le pays dans un état de sous développement ; il est classé parmi les pays plus pauvres du monde selon le rapport du PNUD sur le développement de 2011.

Les moyens financiers étant limités, le gouvernement se trouve vers l’extérieur pour contracter des emprunts afin de répondre aux besoins de plus en plus pressants des populations. Cette dépendance financière est due en grande partie à la faiblesse de la mobilisation des recettes internes.

Les recettes fiscales pourraient constituer des moyens propres pour faire face à ces difficultés par une maîtrise de son potentiel fiscal.

La réforme fiscale initiée en RDC en cette année 2012 n’est pas une mauvaise chose en soit, au contraire c’est une mesure à soutenir car la TVA a plus des avantages que l’impôt sur le chiffre d’affaires auquel elle se substitue. Elle est un moteur des recettes fiscales internes.

Ces enjeux implicites à la mise en œuvre de la TVA doivent pallier aux défaillances liées à l’introduction de cet impôt. Par contre, les solutions palliatives doivent-elles résulter d’un contrôle efficace ou de la mise en place d’une structure de prix ? Le débat reste ouvert.

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