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CONCLUSION

Non classé

Dans ce chapitre, nous avons montré dans une première section que la théorie
d’efficience à subi une évolution progressive, bien qu’elle semble être vérifiée
empiriquement, et ce grâce au débat animé par le développement de la littérature des
anomalies.

Au-delà de la présentation historique de l’évolution du paradigme classique de
l’efficience des marchés, la deuxième section de ce chapitre nous à permis de présenter la
notion de finance comportementale offrant des réponses aux critiques adressées à la
théorie orthodoxe. Cette nouvelle approche se base sur le fait que les individus en général
et les investisseurs en particulier, ne sont pas totalement rationnels dans leurs décisions,
et ils peuvent effectuer des erreurs, à savoir les biais cognitifs.

La troisième section de ce chapitre à mis l’accent sur l’une des principales anomalies
de la théorie classique, à savoir, la volatilité excessive, et nous avons relevé une preuve en
faveur de son existence sur le marché boursier tunisien (1997-2008).

Dans la suite de ce travail, nous évoquerons, dans un premier temps, quelques biais
évoqués ci-dessus en l’occurrence l’excès de confiance et le comportement grégaire, nous
étudierons, dans un second temps, leurs influences sur la volatilité des cours boursiers à
travers une revue de la littérature et nous testerons, dans un dernier temps, cette influence
sur la BVMT.

Retour au menu : L’énigme de volatilité excessive des cours boursiers : explication par la finance comportementale à travers l’excès de confiance et le comportement grégaire. Validation empirique sur la BVMT.