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A- Test de stationnarité – test d’autocorrélation – test de cointégration sur les variables

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Rappelons que le modèle de base est

LPIBrt=c+μDB+ωDC+εDEFLATE+αLINPRIVt+λLINPUBt+βLPAO+μt

Nous avons dans un premier temps effectué les tests de stationnarité des variables du modèle (confère annexes). Une variable est stationnaire si elle fluctue autour de sa moyenne au cours du temps. On accepte l’hypothèse de stationnarité si la probabilité est inférieure à 5%. Ces tests nous ont permis de conclure que toutes les variables exceptées linpriv et deflate sont stationnaires en différence première. Linpriv est stationnaire en différence seconde et deflate à niveau.

Le résultat du test de cointégration de JOHANSEN indique l’existence de trois relations de cointégration à 5% lorsqu’on prend pour méthode de décision la statistique de la trace. Par contre, en se basant sur le maximum de vraisemblance, le test indique l’existence d’une seule relation de cointégration au seuil de 5%. Après une analyse minutieuse des relations de cointégration, nous sommes parvenus à retenir une seule relation de cointégration (sur la base du maximum de vraisemblance), ce qui signifie que les sentiers de croissance des variables sont les mêmes et on a une relation d’équilibre de long terme entre ces variables. Nous sommes alors amenés à estimer un MCE.

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