Gagne de la cryptomonnaie GRATUITE en 5 clics et aide institut numérique à propager la connaissance universitaire >> CLIQUEZ ICI <<

2.1.1. La position géographique et la structure administrative(62)

Non classé

La Côte d’Ivoire est un État d’Afrique occidentale ayant la superficie de 322 463 km², baigné par le golfe de Guinée au sud (l’océan Atlantique), limité à l’ouest par le Libéria et la Guinée, au nord par le Mali et le Burkina, à l’est par le Ghana. Le territoire ivoirien est divisé en 19 régions, puis en 58 départements, 243 sous-préfectures et 197 communes.

Les régions administratives sont les suivantes: région des Lagunes, région du Sud-Comoé, région de l’Agnéby, région du Haut-Sassandra, région des Savanes, région de la Vallée du Bandama, région du N’zi-Comoé, région du Moyen-Comoé, région des Montagnes, région des Lacs, région du Zanzan, région du Bas-Sassandra, région de Worodougou, région du Denguélé, région du Sud-Bandama, région de la Marahoué, auxquelles il faut ajouter, depuis 1999, la région du Fromager, la région du Moyen-Cavally et la région du Bafing comme l‘illustre la carte administrative ci-après(63) :

Carte I: La structure administrative de la Côte d’Ivoire

Carte Les enjeux de la transition politique et humanitaire le cas de la crise politico-militaire et postélectorale en Côte d’Ivoire 1

Abidjan, la capitale économique du pays et son plus grand port, abrite environ 3,9 millions d’habitants.

Depuis 1983, Yamoussoukro, ville natale de l’ancien président Houphouët-Boigny, est devenue la capitale politique du pays, la population de cette ville a plus que triplé, pour atteindre pratiquement 300 000 habitants. Comme autres villes importantes, mentionnons aussi Bouaké (1,5 million d’habitants), Daloa (173 107), Korhogo (142 039), Man (116 657) et Gagnoa (107 124).

62 Tiré de http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/afrique/cotiv.htm/
63 OCHA Côte d‘Ivoire, CAP 2008, page iv

Page suivante : 2.1.2 Les données démographiques(64)

Retour au menu : Les enjeux de la transition politique et humanitaire : le cas de la crise politico-militaire et postélectorale en Côte d’Ivoire