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Plan expérimental

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Comme dit dans la section précédente, il existe deux groupes de participants : les extrêmes du matin ou « matinaux » et les extrêmes du soir ou « vespéraux ».
Chaque sujet a été testé à 2 reprises : une fois au moment non-optimal (10h30 après le réveil pour les matinaux, 1h30 après le réveil pour les vespéraux), une fois au moment optimal (1h30 après le réveil pour les matinaux, 10h30 après le réveil pour les vespéraux).

Les sujets sont testés 1h30 et 10h30 après leur lever afin de contrôler l’inertie de sommeil (Schmidt et al., 2009).

Ces passations ont été contre-balancées, ainsi la moitié des sujets a commencé au moment optimal tandis que l’autre moitié a commencé par la passation non-optimale.

La passation 1h30 après le lever a été commencée en moyenne 1h27 après le lever et la condition 10h30 post-réveil a été commencée en moyenne 10h29 après le lever.

L’ordre de passation des tâches a été contrôlé afin de s’assurer que l’ordre dans lequel le sujet effectue les tâches n’a pas d’impact sur sa performance.

Tableau 1 influences circadiennes sur le jugement social
Tableau 1 : Contre-balancement de l’ordre de passation

Ainsi chaque groupe a été réparti en 6 conditions, chaque condition correspondant à l’ordre dans lequel les sujets passent les tâches (tableau 1).

En résumé, voici le plan expérimental utilisé (tableau 2).

Tableau 2 influences circadiennes sur le jugement socialTableau 2 : résumé du plan expérimental

Enfin, afin d’éviter un effet test-retest, il s’est écoulé 7 à 10 jours (8,3 jours en moyenne) entre les 2 passations pour chaque sujet.

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