Gagne de la cryptomonnaie GRATUITE en 5 clics et aide institut numérique à propager la connaissance universitaire >> CLIQUEZ ICI <<

Les enjeux de la transition politique et humanitaire : le cas de la crise politico-militaire et postélectorale en Côte d’Ivoire

Sciences politiques

Dédicaces
Remerciements
Sommaire
Sigles et abréviations
La liste des cartes, diagrammes, graphiques, schémas et tableaux
INTRODUCTION GENERALE
La méthodologie
Les sources d’information et des données
La délimitation et la portée de recherche
La définition des termes clés
Les résultats de recherche
Le plan de recherche
PREMIERE PARTIE : LES FONDEMENTS THEORIQUES, EMPIRIQUES,HISTORIQUES ET SOCIOPOLITIQUES
CHAPITRE 1: LES FONDEMENTS THEORIQUES ET EMPIRIQUES DE LA CRISE ET DE LA TRANSITION POLITICO-HUMANITAIRE
1.1. L’histoire et la complexité de la crise et de la réponse humanitaire
1.1.1. Les origines de l’humanitaire
1.1.2. La nouvelle phase dans l’histoire du mouvement humanitaire.
1.1.3. Les nouveaux principes idéologiques et déontologiques de l’action humanitaire
1.1.4. L’entrée en scène de l’humanitaire d’État.
1.1.5. Les enjeux et problèmes de l’action humanitaire dans le monde d’aujourd’hui.
1.1.6. Le droit d’ingérence et la légitimation d’actions humanitaires
1.1.7 Les fondements humanitaires et juridiques du droit d’ingérence
1.1.8 Le droit d’ingérence et ses confusions
1.1.9. Le droit d’ingérence et la légitimation d’actions humanitaires
1.1.10 Les faits et les méfaits du droit d’ingérence
1.1.11 Les limites du droit international dans les relations internationales
1.1.12 L’ingérence et les guerres civiles
1.1.13 L’aveu du caractère immoral de l’intervention militaire
1.1.14 L’ingérence au nom de la démocratie
1.2 L’humanitaire et la politique.
1.3. La crise de l’humanitaire.
1.3.1 L’humanitaire et ses contradictions
1.3.2 Les spectacles du messianisme humanitaire
1.3.3 Les caractéristiques de l’humanitaire
1.3.4. Les difficultés opérationnelles de l’action humanitaire
1.4. La communauté internationale, les états fragiles et les situations précaires
1.4.1. Le contexte de chaque pays comme point de départ.
1.4.2. La non nuisance
1.4.3. Le renforcement de l’État comme objectif fondamental
1.4.4. La priorité à la prévention
1.4.5. Les liens entre les objectifs politiques, sécuritaires et de développement.
1.4.6. Les priorités locales
1.4.7. Les mécanismes concrets de coordination
1.4.8. La rapidité et l’engagement pour la réussite
1.2.9. La non-discrimination
1.4.10. La non exclusion.
1.5. La crise politico-humanitaire et la transition
1.5.1. La crise et ses différentes définitions
1.5.2. La crise humanitaire et ses différentes catégories.
1.5.3. Les risques technologiques et naturels
1.5.4. La gestion d’une crise
1.5.5 La méthodologie d’analyse des risques
1.5.6 La légitimité du principe de précaution face aux risques
1 .5.7 Les éléments de conclusion sur le principe de précaution
1.4 Le conflit armé et la transition
1.6 La sortie de crise et la transition
1.7. Le développement durable face au risque
1.7.1. La définition du développement durable
1.7.2 Le relèvement économique précoce
1.7.3 La transition et les stratégies d’aide et développement durable
CHAPITRE 2 : LES FONDEMENTS HISTORIQUES ET SOCIOPOLITIQUES DE LA CRISE IVOIRIENNE
2.1. Le contexte général
2.1.1. La position géographique et la structure administrative
2.1.2 Les données démographiques
2.1.3 Les groupes ethniques
2.1.4 Les langues et les groupes linguistiques
2.1.5 Les religions
2.1.6 Les données historiques
2.1.7 La colonisation française
2.1.8 La Côte d’Ivoire indépendante
2.2 La crise politico-militaire
2.2.1 La transition du régime de parti unique à un régime multipartiste
2.2.2 Les tares d’un modèle économiste dirigiste
2.2.3 Le problème de la propriété
2.2.4 L’ivoirité, un concept raciste et son application politique
2.2. 5 La dégradation du climat politique
2.3 La guerre civile de septembre 2002 à 2007
2.3.1 Les composantes armées en Côte d’Ivoire
2.3.2 La rébellion
2.3.3 L’intervention de la France
2.3.4. Les accords Kléber dits « de Marcoussis »
2.3.5 L’opération de maintien de paix des Nations Unies
2.3.6 Les exactions et les crimes commis depuis 2002
2.3.7. La reprise de la guerre depuis octobre 2004
2.3.8. Les Accords de Paix d’Ouagadougou(APO)
2.4. De la fin de la crise politico-militaire vers la crise postélectorale
2.4.1. Le déroulement du premier tour électoral au 31 octobre 2010
2.4.2 Une élection pour mettre fin à la crise politico-militaire
2.4.3 Un second tour Gbagbo-Ouattara
2.4.4 Ouattara vainqueur du second tour contesté par le conseil constitutionnel
2.5 Les enjeux politico-diplomatiques postélectoraux
2.5.1 Le serment de Laurent Gbagbo devant le conseil constitutionnel
2.5.2 L’alliance politique du rassemblement des houphouëtistes
2.5.3 L’instrumentalisation dangereuse du conseil constitutionnel
2.5.4 L’illégitimité de Laurent Gbagbo face aux risques d’une guerre civile
2.5.5 La tentative de confiscation du pouvoir par Gbagbo
2.5.6 L’ONU salue l’annonce des résultats de la présidentielle
2.5.7 La France lance un appel au calme
2.5.8 Les serments de deux présidents, la nomination de deux gouvernements
2.5.9 Le bicéphalisme au sommet de l`état
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES CAUSES, DES CONSEQUENCES, DES STRATEGIES ET DES MECANISMES ADOPTES DANS LA GESTION DE LA CRISE IVOIRIENNE
CHAPITRE 3 : LES CAUSES PROFONDES ET LES CONSÉQUENCES MULTI-SECTORIELLES
3.1 Les causes profondes du conflit, les défis et les différents obstacles
3.1.1 La question foncière
3.1.2 La citoyenneté et l’Identification
3.1.3 Le secteur de la sécurité, le désarmement, la démobilisation et la réinsertion
3.1.4 La gouvernance et l’état de droits
3.2 Les conséquences générales et politico-humanitaires
3.2. 1 Les institutions et l’administration
3.2.2 La gouvernance
3.2.3 Les déplacements internes de la population
3.2.4 La pauvreté
3.2.5 La cohésion sociale
3.2.6 L’éducation
3.2.7 La santé et le VIH/SIDA
3.2.8 L’eau et l’assainissement
3.2.9 L’encadrement des jeunes et la protection des enfants
3.2.10 Le genre
3.2.11 La sécurité alimentaire et la nutrition
3.2.12 La sante publique
3.2.13 La déstabilisation de l’ouest
3.2.14 L’humanitaire
3.2.15 La sécurité publique
3.3 Les violation des droits de l’homme et l’atteinte à la sûreté de l’Etat
3.3.1 L’adoption par l’ONU d’une résolution dénonçant des “atrocités”
3.3.2 La mission de la Cour Pénale Internationale(CPI)
3.3.3 La présence de miliciens libériens
3.3.4 L’ONU alarmée par les atrocités 
3.3.5 L’instruction judiciaire contre l’ex-Président Laurent Gbagbo
3.4 Les exportations
3.5 Le secteur privé
3.6 Le secteur financier
3.7 La politique financière, monétaire et diplomatique
3.8 L’armée
3.9 La décision du conseil de sécurité de l’ONU face à l’opposition de la Russie
3.9.1 La crédibilité de l’Union Africaine et de la CEDEAO mise à l’épreuve
3.9.2 La diplomatie pour sortir le pays de l’impasse
3.9.3 L’immixtion étrangère
3.10 Les investissements étrangers
3.11 La dette extérieure
3.12. L’économie
3.12.1 L’impact de la crise sur la croissance économique
3.12.2 Les perspectives économiques : sortir de la zone rouge
3.12.3 La crise postélectorale et les performances économiques et financières
CHAPITRE 4 : LES STRATEGIES ET LES MECANISMES DE COORDINATION, DE PLAIDOYER ET DE REPONSE A LA CRISE IVOIRIENNE
4.1 Les mécanismes et les stratégies humanitaires et de relèvement économique
4.1.1 Les mécanismes de coordination
4.1.2 Les forces et les faiblesses des mécanismes de coordination existantes
4.1.2 Les forces et les faiblesses des mécanismes de coordination existantes
4.1.3 La transition et les structures de coordination
4.1.4 La transition et l’intégration des mécanismes de coordination
4.1.5 Les mécanismes de coordination et l’implication des institutions étatiques
4.1.6 La coordination humanitaire et la crise postélectorale
4.1.7 Les stratégies et les mécanismes de plaidoyer et de financement
4.1.8 Les stratégies de réponse de humanitaire et de la transition
4.1.9 Les points forts de la réponse humanitaire en Côte d’Ivoire
4.1.10 Les points à améliorer
4.1.11 La valeur ajoutée de la réponse humanitaire
4.2 Les mécanismes et les stratégies politiques
4.2.1 L’élection présidentielle et la décision du conseil constitutionnel face au droit
4.2.2 Le caractère irrégulier et surréaliste de la décision du conseil constitutionnel
4.2.3 La crise du constitutionnalisme
4.2.4 Les scenarios de sortie de crise postélectorale
4 .2.5 La résolution du conseil de sécurité de l’ONU et la neutralité de la Russie et de la Chine
4.2.6 La neutralité de la Banque Africaine de Développement(BAD)
4.2.7 La position du conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine
4.2.8 Les menaces du Premier Ministre, Mr Guillaume Soro
4.2.9 La position des Ambassadeurs et les chefs religieux
4.3 Les mécanismes et les stratégies diplomatiques et médiatiques
4.3.1 Eviter la guerre en Côte d’Ivoire
4.3.2 L’intensification de la pression sur Gbagbo
4.3.3 La guerre médiatique
4.3.4 Le dialogue préféré à l’usage de la force
4.3.5 L’équilibre au sein de la CEDEAO
4.3.6 L’entrée en scène du socialiste Roland Dumas et d’avocat Jacques Vergès
4.3.7 La tentative d’apaisement de la CEDEAO, l’intervention militaire écartée
4.3.8 Les appels au combat par le camp de Laurent Gbagbo
4.3.9 L’Union Européenne de plus en plus virulente, l`ONU monte le ton
4.3.10 La diplomatie ouest-africaine à l’épreuve de l’imbroglio ivoirien
4.3.11 Le report de l’assaut contre le QG de Ouattara par camp Gbagbo
4.3.12 La provocation et la diversion pour retarder les échéances
4.3.13 La médiation de la CEDEAO doutée
4.3.14 Le jeu contre la montre
4.3.15 Compter ses amis, diviser ses adversaires
4.3.16 Quand Alassane Ouattara declara : les discussions sont “terminées”!
4.3.17 La communauté internationale n’accepte pas de transiger
4.4 Les stratégies et les mécanismes militaires
4.4.1 Qui veut la paix prépare la guerre
4.4.2 L’intervention militaire et l’attitude de l’armée ivoirienne
4.4.3 Les scénarios militaires envisagés
4.4.4 Le cas du chef d’état-major, le General Philippe Mangou
4.4.5 L’offensive militaire généralisée
4.4.6 Le jour où Laurent Gbagbo est tombé
4.4.7 Le rôle présumé des forces françaises
4.5 Les mécanismes et les stratégies socioreligieuses
4.5.1 La position des églises catholiques, évangéliques, et des chefs musulmans
4.5.2 Le processus de réconciliation
4.5.3 La commission vérité-réconciliation est-elle la bonne solution ?
4.5.4 Les débats sur la dénomination de la commission Dialogue, Vérité et Réconciliation
4.5.5 La Justice et la réconciliation : un mariage difficile
4.5.6 La nouvelle Côte d’Ivoire et la justice sélective du passé
4.5.7 Les enjeux et les perspectives
4.6 Les mécanismes et les stratégies judiciaires
4.6.1 La cour pénale internationale et les exactions commises depuis 2002(216)
4.6.2 L’indispensable sanction judiciaire des crimes
4.6.3 La Côte d’Ivoire à l’épreuve de la justice transitionnelle
4.6.4 La justice transitionnelle, un concept nouveau dans le lexique des ivoiriens
4.6.5 Les poursuites judiciaires et la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation
4.7 De Laurent Gbagbo, du droit international et de la Cour Pénale Internationale
4.7.1 Le contexte, les crimes et la compétence de la CPI
4.7.2 Les faits allégués à Laurent Gbagbo
4.7.3 Le point de vue de Human Rights Watch sur le transfèrement de Laurent Gbagbo
4.8 Les erreurs de Laurent Gbagbo
4.8.1 Croire aux sondages sur mesure
4.8.2 Sous-estimer l’adversaire
4.8.3 Compter sur les Baoulés
4.8.4 Nier la détermination de l’ONUCI
4.8.5 Compter sur les autres chefs d’Etat
4.8.6 Rester, massacrer et ne pas craindre la communauté internationale
4.9 Les leçons de la chute de Gbagbo
4.10 Alassane Ouattara, une leçon de stratégie
4.10.1 Ouattara le stratège
4.10.2 Ouattara et l’art de la patience
4.10.3 De la réconciliation et du pardon
TROISIEME PARTIE : LES LEÇONS TIRÉES DE LA GESTION DE LA CRISE IVOIRIENNE ET LA PRESENTATION DES RESULTATS
CHAPITRE 5 : LES LEÇONS TIRÉES DE LA GESTION DE LA CRISE IVOIRIENNE
5.1 La Communauté Internationale et le processus électoral en Afrique
5.1.1 L’introduction
5.1.2 L’accompagnement technique des processus électoraux par les Nations Unies en Afrique.
5.1.3 Le silence complice des Nations Unies dans la validation des fraudes et corruptions électorales en Afrique
5.1.4 Le programme du processus électoral en Afrique : le double langage de la communauté internationale
5.1.5 Le cas d’école des élections présidentielles de 2010 en Côte d’Ivoire,
5.1.6 Les perspectives d’avenir pour les processus électoraux en Afrique.
5.1.7 Les leçons africaines en Côte d’Ivoire
5.1.8 Les élections « made in Africa » ou la démocratie « façon-façon »
5.1.9 Comment conduire des élections sans violence en Afrique
5.2 Les causes du blocage du processus de démocratisation en Afrique subsaharienne
5.2.1 La transparence des élections et de l’alternance démocratique du pouvoir
5.2.2 Les sources des blocages au processus de démocratisation en Afrique
5.3 L’Afrique et la démocratie : un couple antinomique
5.3.1 Les généralités
5.3.2 De l’espoir pour la démocratie en Afrique
5.4 L’usure et la longévité au pouvoir gage de l’instabilité et de la mauvaise gouvernance en Afrique
5.4.1 Les généralités
5.4.2 La longévité au pouvoir et la démocratie en Afrique
5.4.3 L’Afrique ne fera plus exception aux principes démocratiques
5.4.4 L’Afrique centrale, un cas d’école de résistance à l’alternance
5.4.5 Le parti au pouvoir : une véritable cour royale
5.4.6 Des réseaux privés surplombant les réseaux officiels
5.4.7 De la sensibilité monarchique à la sensibilité républicaine
5.4.8 L’ouverture des espaces politiques : un mouvement irréversible
5.5 L’Afrique face aux changements
5.6 L’efficacité douteuse des sanctions internationales
5.6.1 Les sanctions économiques et politiques en Afrique.
5.6.2 Les sanctions, une affaire panafricaine
5.6.3 Les résultats mitigés des sanctions internationales.
5.6.4 Les souffrances des populations
5.6.5 Le double jeu
5.7 L’intervention militaire en Côte d`Ivoire : un vrai défi pour l`Afrique de l`Ouest
5.8 Les limites de la communauté internationale dans la gestion des crises en Afrique
5.9 La communauté internationale face au processus démocratique en Afrique
5.10 La Côte d’Ivoire, la Tunisie, l’Egypte et la Lybie : Quatre événements, des leçons à tirer
5.10.1 Des leçons à tirer
5.10.2 L’Afrique touchée
5.10.3 Ben Ali, Moubarak, Gbagbo et Kadhafi : quatre choix, deux possibilités
5.10.4 L’art (délicat) de partir ou de rester
5.10.5 L’heure de rendre des comptes
5.11 La Cour pénale internationale vers un échec en Afrique
5.11.1 Les mandats d’arrêt international contre les chefs d’États
5.11.2 Beaucoup d’initiatives pour peu de résultats
5. 12 Les leçons de la crise ivoirienne selon des observateurs
5.13 Des regrets à de nouvelles espérances, des leçons d’une opportunité manquée
5.13.1 Eviter le piège d’une combinatoire infinie de causes et d’effets
5.13.2 Des élections face aux revendications
5.13.3 Divers arguments avancés face aux alliances politiques
5.13.4 Laurent Gbagbo est-il le héros intrépide ?
5.13.5 L’occident face aux intérêts spécifiques en Afrique et ailleurs
5.13.6 La responsabilité des institutions africaines
5.13.7 L’engagement de l’élite intellectuelle africaine.
5.13.8 Renvoyer les protagonistes dos à dos.
5.13.9 La main invisible de l’occident.
5.13.10 La géopolitique sous régionale et mondiale face à la crise ivoirienne
5.14 Le vent démocratique en Afrique Subsaharienne
5.15. L’Afrique en 2011 : les moments forts
5.15.1 Du soulèvement à la chasse au pouvoir et aux conflits
5.15.2 Des élections par-ci, des violences par-là
5.16 La conclusion
CHAPITRE 6 : LA PRESENTATION DES RESULTATS, LA CONCLUSION ET LES RECOMMANDATIONS
6.1 L’impact politico humanitaire du conflit ivoirien
6.2 Le changement dans le contexte politique, sécuritaire et socio-économique
6.3 Les efforts de sortie de crise et de redressement
6.4 Les besoins humanitaires additionnels et les besoins en relèvement communautaire
6.5 Les efforts de consolider la paix et le développement
6.6 La transcendance des contradictions et le relèvement des vrais défis politiques, économiques et sociaux
6.6.1 L’alternance démocratique : un pas encore difficile à faire
6.6.2 Les défis de la cohésion sociale et de la stabilité institutionnelle
6.6.3 L’assainissement et la moralisation de la vie publique
6.6.4 La lutte contre la pauvreté et l’accès aux services sociaux de base
6.6.5 La transcendance du local et l’inscription dans la mondialité
6.6.6. Le relèvement du défi de la paix
6.6.7 La nécessaire normalisation
6.7 Les résultats d’analyse des indicateurs et des points de repère de la Transition en Côte d’Ivoire
6.8 La Conclusion Générale
Annexe I : La Chronologie de certains faits politiques et des crimes, tueries et massacres commis en Côte d’Ivoire de 2000 à 2011
Annexe II : Les grands faits marquant les onze(11) années de la crise ivoirienne
Annexe III : Les initiatives conjointes existantes et mises en oeuvre par le SNU en Côte d’Ivoire – Novembre 2008
Annexe IV : Le tableau des zones et des localités à risque au plan de la cohésion sociale à l’Ouest, Situation de Juin 2009
Annexe V : La déclaration du représentant spécial du secrétaire général des nations en Côte d’Ivoire sur le second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010
LA BIBLIOGRAPHIE

Auteur : Védaste Kalima
Année de publication : 2012
Thèse de Ph.D en Sciences Politiques
Spécialité des Relations Internationales et Diplomatiques
Directeur de Recherche : Dr Camille Mindjouli
Membres du Jury : Dr Bruno Hamard, Dr Olivier Firino et Dr Gyorgy Suha
Ecole Doctorale Edmund J. Randolph

Madison International Research

CONTACTER L’AUTEUR