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INTRODUCTION GENERALE

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1. Objet de l’étude

Le mémoire de licence que nous nous proposons d’entreprendre s’intitule : Politique de programmation des chaînes de télévision de Kisangani.

En fait, notre étude porte sur l’analyse des grilles de programmes et des cahiers de charges du paysage télévisuel boyomais. De manière précise, il s’agit d’étudier les idéologies ou la philosophie qui inspire les facteurs ou les indicateurs de programmation d’une chaîne de télévision.

2. Problématique

Depuis le mois d’octobre 2010, deux chaînes de télévision se sont ajoutées aux deux autres (Radio télévision nationale congolaise et Radio télévision amani) qui émettaient de Kisangani jusqu’à maintenant : Canal Congo télévision – dite CCTV– et Canal orient télévision. Leur avènement a porté à quatre le nombre de chaînes de télévision implantées à Kisangani.

L’impression que l’on peut avoir est telle que, loin d’apporter une nouveauté perceptible ou mieux d’être originales, ces deux chaînes n’ont que suivi les allures des anciennes : des programmes presque similaires, des animateurs peu expérimentés, etc.

La plupart de ces chaînes de télévision proposent des programmes, pour la plupart produits en studio, à cible anonyme, à contenu peu structuré, et à formule peu originale. C’est la confusion par rapport aux contenus de leurs cahiers des charges. Pourtant, les tendances dont elles se revendiquent renseignent peu ou prou sur les contenus qu’elles sont appelées à diffuser.

Il est difficile de se faire une idée précise là-dessus ; l’on pourrait se demander devant quel type de média (public ou privé ou commercial ou communautaire) l’on se trouve ? Pourtant, de par leurs statuts, missions et objectifs, chaque chaîne devrait créer un attachement particulier avec les téléspectateurs sur des domaines délaissés par tel ou tel autre type de média qui, tout aussi sérieux, doit faire prévaloir les principes de concurrence et/ou de complémentarité entre les chaînes. Cela d’autant plus qu’une chaîne de télévision est tout à la fois un canal de diffusion (point de vue technique), un flux de programmes (point de vue éditorial) et une marque (point de vue marketing)(1).

Les émissions régulières relevant de la production interne, présentent des caractéristiques quasi similaires. L’on constate des émissions d’animation libre, des tranches très longues des prédications, des programmes improvisés, des temps d’antenne échappant au contrôle, l’omni présence des films sans signalétiques et des clips peu avenants, et autres ne tenant pas compte de la disponibilité des publics potentiels. Comme l’évoque Paul de MAESENEER(2), « … il semble également qu’ils n’aient pas pris conscience de l’importance de se constituer un public, c’est-à-dire d’étudier les besoins et les souhaits des auditeurs pour en tenir compte dans l’élaboration des émissions ». Une conception d’un public « acquis » par le simple fait d’émettre.

En effet, le constat est que, la production télévisuelle du système de radiodiffusion visuelle boyomais est proche de la paléo-télévision où produire des programmes, c’est offrir des programmes ou « émissions « autophages » qui affichent (…) sans ambiguïté des visées distractives ou se targuent de projets plus « réflexifs »(3), (c’est-à-dire qui se consomment eux-mêmes). Elle ne présente pas un degré de concrétisation ou de réalisation savamment réfléchie quant à l’efficacité et l’efficience des émissions ou programmes vis-à-vis des positions et opinions qui s’y expriment.

Les grilles de programmes n’obéissent pas au principe de diachronie (temporelle et sociale) et datant généralement de plusieurs mois ou élaborées sur base des besoins supposés, fondent la vie de ces chaînes de télévision. Pourtant « une grille de programme n’est pas pour autant un puzzle de produits similaires, aseptisés, fédérateurs. Une grille n’a jamais fait ses preuves — ou plus exactement, dès qu’elle les a faites, il est temps de la modifier »(4).

D’où, quelques uns des programmes extérieurs (films, documentaires, séries,…) jouissent d’un quota un peu plus important par rapport à la production locale, généralement faible. Ce qui donne la nette impression que ces chaînes servent plutôt de relais à des chaînes étrangères vu l’hyperexploitation des programmes de ces dernières (22 % du volume horaire de la grille sont consacrés aux programmes locaux à la RTA(5)). Une pratique contraire à la législation congolaise qui, en matière de contenu des programmes, préconise que les chaînes diffusent plus de 50% des programmes locaux.

Ainsi, est-on tenté de dire que, dans le paysage audiovisuel boyomais (PAB), une véritable politique de programmation bien réfléchie ne fait pas encore l’objet d’une attention particulière des promoteurs, voire des professionnels.

Il est évident que c’est la grille, expression du projet éditorial d’une chaîne de télévision(6)…, qui traduit la politique de programmation. C’est elle qui octroie à une entreprise audiovisuelle son identité professionnelle parmi tant d’autres. Par et à travers elle, se détermine la ligne éditoriale qui définit, dans une perspective à rebours, la cible, le contenu et la grille –les articulations du cahier des charges–. Cette politique est, en fait, la philosophie de l’entreprise dont la réalisation passe par des émissions savamment programmées (programmation). Car, la programmation est amie de la ponctualité, ennemie au hasard, de l’imprévu ou de l’imprévisible(7).

Après avoir fait cet état des lieux et après nous être appesanti sur la description, la compréhension et l’éclaircissement de la pertinence de la programmation dans le paysage télévisuel boyomais, nous pensons articuler notre réflexion sur la question générale suivante : Comment se conçoit la politique de programmation des chaînes de télévision de Kisangani?

Pour contribuer à l’appréhension de ce problème général, de nombreux chercheurs ont déjà proposé des réponses dans leurs rapports de recherches. Ainsi, cette entreprise revêt deux enjeux majeurs à savoir, connaître les différentes études déjà réalisées sur la grille de programmes, d’une part, et sur les champs d’investigation (les chaînes de télévision de Kisangani), d’autre part.

Dans le premier enjeu, nous notons l’étude de MIDESSO Ndamuso sur les contrats médiatiques dans les grilles des programmes de la Télévision Amani/R.T.A. et de la Télé du Peuple/ R.T.N.C [8]. Elle s’est posé les questions suivantes : ces deux télévisions ontelles des grilles de programme annuel bien élaborées et fixes ? Y a-t-il équilibre de contrat dans la grille de programme des télévisions de la R.T.A. et de la R.T.N.C. ? La programmation des émissions tient-elle compte des objectifs et missions poursuivis par ces télévisions ?

En réponse à ces questions, elle a estimé que, par rapport à la manière dont se réalise la production des émissions dans ces deux chaînes, ces chaines n’auraient pas de grilles de programme annuel bien élaboré et fixes. Ensuite, les déterminants tels que la musique, le théâtre et les programmes improvisés qui dominent celles-ci, laissent à croire qu’il y’aurait déséquilibre des contrats dans les grilles de programme de ces chaînes de télévision. Enfin, elle a pensé que la programmation des émissions dans ces deux chaines de télévisions ne tiendraient pas compte des objectifs et missions de ces institutions.

Son étude s’est inscrite dans le cadre théorique de la programmation télévisuelle de J. Soulage et G. Lochard. Sa méthode d’approche est double : la méthode analytique et la méthode comparative.

Elle a abouti à la conclusion selon laquelle la RTA et la RTNC n’ont pas de grilles annuelles bien élaborées et fixes. Les deux télévisions fonctionnent avec des grilles improvisées. Les résultats suivants dénotent un déséquilibre des contrats dans les grilles de ces chaînent. Pour la RTA, le contrat Pédagogique (soit 42%) est prédominant. Tel aussi le cas à la RTNC (36%) d’ailleurs. Enfin, les émissions à la RTA ne sont pas susceptibles d’atteindre les objectifs assignés à cette télévision du fait que peu d’émissions cadrent avec la mission de cette maison de la presse.

Pour sa part, BOYONGO Kaya a entrepris une recherche sur la Place des programmes étrangers dans la programmation de la RTA(9). Le problème de cette étude a résidé dans l’ignorance de la place qu’occupent les émissions étrangères dans la grille des programmes de la Radio télévision Amani. Il s’est posé les questions de savoir pourquoi il y a une fréquence plus élevée d’émissions des programmes étrangers que celle des émissions locales dans la programmation de la RTA ? Qu’est-ce qui est à la base de l’hyperexploitation de ceux-ci par rapport aux programmes locaux ?

En amont, les hypothèses faisaient état qu’il ya plus d’émissions étrangères que locales parce que la RTA bénéficie des programmes achetés sur les marchés internationaux ; et l’hyperexploitation de ces émissions est due au manque de professionnalisme et d’expérience suffisante des professionnels limitant ainsi leurs capacités à créer des émissions locales.

Pour valider les hypothèses, l’auteur a opté pour les méthodes descriptive et analytique appuyées par la technique documentaire et l’analyse de contenu. Cette recherche s’est inscrite dans la théorie de la programmation télévisuelle.

Au bout du compte, le chercheur a abouti aux conclusions selon lesquelles la grille de programmes de la RTA/télévision est prédominée par les programmes importés.

L’amateurisme et l’expérience limitée par une formation non suffisante dans les arts de diffusion expliquent cette hyperexploitation.

Tout au long de son étude sur la Contribution de la grille des programmes télévisés de la Télévision Amani à l’éducation des adolescents, RASHIDI Mwikandji(10) a répondu aux préoccupations suivantes : Existe-t-il une grille des programmes hebdomadaire bien élaborée à la télévision Amani ? Cette grille des programmes contribue-t-elle à l’éducation des adolescents ?

Il a formulé les hypothèses selon lesquelles il existerait une grille des programmes à la télévision Amani et que celle-ci contribuerait à l’éducation des adolescents si des émissions destinées à ces derniers étaient bien organisées, suffisantes et à des heures bien choisies.

La méthode fonctionnelle de Robert King MERTON l’a guidé dans sa démarche. Il a fait appel aux techniques ²documentaire, d’observation directe, d’entretien.

Enfin de compte, il a abouti aux résultats ci après. La télévision Amani de l’Archidiocèse de Kisangani dispose de grilles des programmes occasionnels qui ne tiennent pas compte des émissions éducatives des adolescents. Sur les 245 espaces des programmes, juste 15 espaces soit 6,1% sont réservés à l’éducation des adolescents alors que cette fonction devrait avoir 15% sur 25%. L’opinion des parents est négative sur le programme télévisé proposé par la télévision Amani sur l’éducation de leurs enfants. C’est pourquoi, sur 180 personnes enquêtées, 162 expriment une opinion négative sur le programme diffusé par la télévision Amani soit 90% contre le 18 enquêtés soit 10%.

Quant à Norbert MWINDULWA Assumani, il a analysé la Télévision publique et information politique au Congo(11). Après avoir développé l’aperçu historique de l’émergence des médias, en général, et de la télévision en particulier, l’auteur s’est consacré au tournant qu’a créé le secteur politique dans les activités des journalistes. Les questions qui suivent lui ont traversé l’esprit, à savoir quels sont les facteurs qui expliquent l’intérêt qu’accordent les journalistes de la RTNC/Kisangani à l’hyperexploitation des nouvelles politiques ?

Son hypothèse de base supposait que les médias publics proches du pouvoir, en l’occurrence la RTNC, bénéficient de soutiens financiers des hommes politiques qui ont la mainmise sur les derniers.

Pour entériner son hypothèse, il a recouru à la méthode sociologique.

L’appareillage des données s’est fait par la technique d’analyse de contenu dans une approche quantitative. Cette recherche s’est assise sur les théories alternative et de la programmation télévisuelle.

Il résulte de ce rapport que la RTNC/Kisangani accorde plus de temps d’antenne aux questions politique, par rapport à l’espace réservé à d’autres programmes à l’instar du développement, la culture,…

Par contre, LOPESI Bosongo, dans son étude sur l’incidence de la télévision publique sur le sous développement à Kisangani(12), s’est concentrée sur la question : pourquoi la télévision publique ne donne pas trop d’importance aux émissions qui traitent de la situation de sous développement.

Pour arriver à cette élucidation, l’auteur s’est posée les questions suivantes : la télévision publique boyomaise contribue-t-elle à la résolution des problèmes liés au sous développement de la ville de Kisangani ? Son impact est-il significatif sur la population ?

Quels sont les facteurs qui expliquent le manque d’intérêt de la télévision publique pour les questions de sous développement ?

En guise d’hypothèse, l’auteur a supposé que les journalistes de la chaîne publique de la ville de Kisangani ne créent pas suffisamment des programmes susceptibles de sortir les Boyomais du bourbier de la pauvreté spirituelle et socio-économique. Il a poursuivi en estimant que les programmes qui existent ne tiennent pas compte des besoins réels de la population, à savoir l’éducation à la vie et la santé. Enfin, ses conjectures se sont arrêtées au point de vue selon lequel les journalistes concentrent surtout leur attention sur des programmes à l’impact lucratif et distractif.

Pour valider ses hypothèses, elle a fait recours aux méthodes sociologique et descriptive. Pour la récolte et l’analyse des données, elle a mis à contribution la technique documentaire et la technique d’analyse de contenu.

Elle a mobilisé comme cadre théorique, les théories de la communication alternative et la programmation télévisuelle.

Au bout de son enquête, elle a constaté que les tranches d’émissions consacrées au loisir, à la culture et au sport occupent une place prépondérante dans la grille des programmes de la RTNC/Télévision, tandis que les émissions destinées à tirer les Boyomais du gouffre de sous développement sont reléguées au second plan. La prédominance des émissions liées à l’actualité politique, aux plébiscite des dirigeants et à la propagande, alors que la société boyomaise sort de durs moments de guerre, de pillage,…qu’elle a besoin des émissions suffisamment commentées en vue de réveiller la conscience des populations aux activités susceptibles de redresser leur niveau de vie.

A l’issue de cette exploration de la littérature scientifique existante sur la grille de programmes et les milieux d’étude, nous remarquons qu’une étude a déjà porté sur les contrats médiatiques dans les grilles de la RTA et de la RTNC.

Aussi, peut-on constater qu’une autre s’est appesantie sur la place des programmes étrangers dans la grille de la RTA/Télévision. Ensuite, nous avons découvert également qu’un chercheur a dégagé la contribution de la grille des programmes de la RTA/Télévision à l’éducation des adolescents.

Dans l’autre perspective, nous observons que d’autres études ont porté sur la Télévision publique (RTNC/Kisangani), à l’instar de celles sur l’incidence de la télévision publique sur le sous développement à Kisangani et sur la télévision publique et information politique au Congo.

Cela dit, les nouvelles chaînes de télévision, à savoir, Canal Congo Télévision et Canal orient télévision n’ont jamais fait l’objet d’étude jusqu’à maintenant.

Au final, nous relevons, effectivement, qu’aucun travail n’a déjà porté sur la politique de programmation des chaînes de radiodiffusion visuelle de Kisangani, auparavant.

L’enjeu est qu’on ignore les indicateurs ou facteurs qui déterminent la (politique de) programmation d’une chaîne de télévision.

Dans ce cas de figure, nous pouvons tirer plusieurs interrogations spécifiques.

– Quel quota de programme est consacré une charge horaire conformément au format d’une chaîne de télévision ?

– Quelles sont les contraintes relatives à la réalisation d’une grille des programmes à la radiodiffusion ?

– Comment peut-on reconstruire la politique de programmation d’une chaîne de télévision?

Toutes ces questions spécifiques peuvent permettre d’articuler une recherche sur la politique de programmation de la radiodiffusion. Cependant, déterminer la manière dont peut se reconstruire une politique de programmation constitue l’objet d’entreprise heuristique qui intéresse notre curiosité.

Ainsi, nous interrogeons-nous : quels sont les facteurs qui déterminent la programmation des chaînes de télévision de Kisangani ?

3. Hypothèse de travail

En guise d’hypothèse, nous proposons à ce questionnement la réponse ci après : la programmation d’une chaîne de télévision repose sur les facteurs suivants : le statut de la chaîne, le public visé ainsi que les moyens de production disponibles.

Tout au long de cette étude, nous nous évertuerons à évaluer la pertinence de l’interaction des variables qui constituent notre hypothèse grâce à un cadre méthodologique et théorique idoine.

4. Cadre théorique

Pour éclairer notre problématique, nous avons convoqué la théorie de programmation télévisuelle qui nous a permis d’appréhender les concepts de notre hypothèse. Nous avons sollicité également le modèle du « Sablier » et la théorie sur la communication des mass media.

5. Objectifs

Cette étude vise à déterminer les idéologies qui se trouvent derrière les différentes programmations du système de radiodiffusion visuelle à Kisangani ainsi que leur mise en oeuvre.

L’ambition est également de réduire les spéculations autour des concepts dans le domaine et d’expliquer la nécessité d’en connaître le contour.

Diagnostiquer le circuit ou le processus que parcourent les contenus médiatiques projetés par les chaînes de télévision de la ville de Kisangani.

6. Méthodes et techniques

Pour vérifier l’hypothèse de cette recherche, nous avons mobilisé la démarche d’analyse comparative des documents médiatiques disponibles des chaînes de télévision.

Nous avons recensé les grilles de programmes de toutes les chaînes de Kisangani ; la grille étant un document situé dans le temps et dans l’espace, ainsi que leurs cahiers des charges. La technique documentaire, l’observation et un l’entretien libre nous ont permis de récolter les données. La technique d’analyse de contenu classique, en l’occurrence l’analyse catégorielle, nous a aidé à analysé les grilles de programmes.

7. Délimitation du sujet

Notre étude a porté sur la politique de programmation des chaînes de télévision de Kisangani, c’est-à-dire la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), la Radiotélévision amani (RTA), la Canal orient et la Canal Congo télévision (CCTV). Elle s’est étendue sur la période de mi juin au 19 juillet 2011 correspondante à l’investigation sur terrain et à l’analyse des résultats.

8. Division du travail

Notre recherche s’est articulée sur trois chapitres principaux à savoir : le premier est axé sur les assises ou éléments théoriques, ensuite, le deuxième était relatif au paysage télévisuel boyomais, et enfin, le dernier était consacré à l’analyse des grilles de programmes des chaînes et l’interprétation des résultats de recherche.

1 HADJ-MOUSSA, (R.), « Ce que la télévision fait voir », SociologieS [En ligne], Théories et recherches, mis en ligne le 29 septembre 2010, Consulté le 30 novembre 2010. URL : http://sociologies.revues.org/index3221.html
2 DE MAESENEER, (P.), A vous l’antenne ! Précis de journalisme radio, traduit de l’américain par Dominique WALTER, Paris, Nouveaux Horizons, 1999 (traduction française), 5è tirage, 2007, p. 34
3 LOCHARD, G., « Penser autrement l’histoire de la communication télévisuelle », L’Année sociologique 2001/2, Vol.51, p.439-453. http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=ANSO&ID_NUMPUBLIE=ANSO_012&ID_ARTICLE=ANSO_012_0439
4 MOUSSEAU, J., « La programmation d’une chaîne de télévision », In: Communication et langages. N°80, 2ème trimestre 1989. pp. 74-89.
5 BOYONGO, K., Place des programmes étrangers dans la programmation de la Radio télévision amani (RTA), TFC inédit, FLSH, UNIKIS, 2009, p.61.
6 FONNET, L., cité par anonyme (http// :users.skynet.be/vanpet/programmation.pdf), La programmation d’une chaîne de télévision, Dixit, 2003, p.232,
7 Anonyme, Programmation télévisuelle : objectifs et contraintes. Cas de la RTBF, Mémoire DES, inédit, Bruxelles, s.d. (http// :users.skynet.be/vanpet/programmation.pdf)
8 MIDESSO Ndamuso, Les contrats médiatiques dans les grilles des programmes de la Télévision Amani/R.T.A. et de la Télé du Peuple/ R.T.N.C, Mémoire, Inédit, FLSH, UNIKIS, 2009.
9 BOYONGO, (B.), Op. cit.
10 RASHIDI, Mwikandji, Contribution de la grille des programmes télévisés de la Télévision Amani à l’éducation des adolescents, TFC inédit, FLSH, UNIKIS, 2009
11 MWINDULWA, Assumani, Télévision publique et information politique au Congo, Mémoire inédit, FLSH, UNIKIS, 2010
12 LOPESI, (B.), L’incidence de la télévision publique sur le sous développement à Kisangani, Mémoire inédit, FLSH, UNIKIS, 2010

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