Puisqu’il fallait oser, nous voici au terme de notre premier cycle des études universitaires. En effet, au seuil de ce travail de fin de cycle de graduat, nous nous faisons l’agréable devoir d’exprimer nos vifs remerciements à tous ceux dont le concours aura été précieux pour la réalisation de cette modeste dissertation.
Notre réelle gratitude va droit à l’endroit de Monsieur TSHIMANGA KUTANGIDIKU Etienne, professeur à la faculté des lettres et sciences humaines de l’université de Kinshasa qui, se dépouillant de toute sa sublime personnalité et de ses occupations les plus importantes, a accepté de diriger ce travail.
Nous remercions également le professeur Barnabé MILALA KATSHIELA pour ses orientations et ses remarques à ma formation scientifique durant ces trois années.
Il serait d’autant plus ingrat de notre part de passer sous silence les noms des frères ainés que nous avions connu tant sur le site universitaire qu’en dehors de celui-ci. Il s’agit notamment : KATSOKA LUKADI André, Pierrot MBUYU, Félicien KALALA, Socrate TSHIAMUELE, Léon Lulua, Pierre BANANGA, Roger MUZODI.
Nous ne manquerons pas de citer les amis qui nous ont aidés à endurés et à surmontés les autres épreuves de la vie : Don de DIEU TSHINYAMA, Anne MWAYUMA, KAZADI MULAJA Cécile, KIBAMBE MBU Claire, MBUYI KATSHIELA, MBUYAMBA TSHIMBEJI, TSHISHIMA MUZODI, KABIENA Blaise, KAVUDISA Patient, Dieu donné SANDEKE, PANDE MWAMBA, KITOKO Loule, KAHULU Olivier, NDAKA Arsène, ONDORU BILIATRE Esther, KINZAMBA OTAN, KANAKANGE BIBI, DIFUIDI N’SONGO Gloria, Guy BONGA, MAWETE Saϊo, KANDE BEYA Dane, etc.
Enfin, il convient de signaler à tous ceux dont les noms ne sont repris dans cette énumération qui, du reste est loin d’être exhaustive, qu’ils n’ont pas été totalement oubliés, nous leurs sommes aussi redevables pour tout ce qu’ils ont fait pour nous.
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